On se déshabillera plus tard
Datte: 24/09/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
médical,
revede,
pénétratio,
Humour
h+medical,
Auteur: Jeff169, Source: Revebebe
... dit-elle… mais j’ai eu personne depuis, finit-elle, du ton d’un enfant déplorant la perte d’un doudou.
C’est bien la première fois que je m’entends dire aussi clairement une certaine demande.
— Tu es plus précoce que moi. J’avais l’âge que tu as aujourd’hui, dis-je. Presque dix ans, comme le temps passe. C’était une femme plus âgée…
Je commence alors mon récit :
— Lors d’une soirée tumultueuse et arrosée, la maîtresse de maison,
célibataire, nettement plus mûre que moi, une belle brune d’allure sportive et qui semblait bien entourée, m’a pourtant demandé de l’aider à ranger les reliefs de cette soirée animée. Je ne sais comment, naturellement, les convives partirent alors que je continuais à m’affairer dans la cuisine. Une fois l’appartement vide, nous finissions à peine qu’elle me dit : « Alors, mon beau jeune homme ! », tout en me dévisageant de la tête aux pieds : « Je crois savoir que tu es puceau, viens dans ma chambre, nous allons corriger cela. » Tout d’abord interloqué, je ne me suis pas fait prier. La maîtresse de maison était pour moi la belle diva inaccessible.
Anne Laure a approché son visage, comme aimantée par mon ton de confidence. Elle n’en perd pas une miette et semble me dévorer de ses yeux brillants. Je poursuis :
— Bien sûr, je ne me suis pas fait prier. À un moment, elle m’a déshabillé après avoir dit « Ne bouge pas. » Je me suis retrouvé près du lit dans la chambre à peine éclairée par la porte de la salle de bain entrouverte. Ça ...
... faisait drôle, tu sais, nu, la queue dressée, enfin tu connais. Je n’en menais pas large, tu te rends compte ! Alors, elle s’est déshabillée rapidement, sans quitter ma queue des yeux. C’était une belle brune, des cuisses bronzées, une chatte noire et fournie…
Anne Laure me semble alors prendre un regard sérieux comme tentant de réprimer la rougeur de ses joues, écoutant ce trouble récit qui semble mettre en scène une sœur jumelle, autant que mon imagination puisse orienter ainsi la description.
— Elle s’allonge et me dit : « Viens près de moi, allonge-toi. » Puis, en me prenant la main : « Viens voir par là. Caresse comme ça, redescend un peu, pour mouiller ton doigt, reviens ici, d’avant en arrière, n’arrête pas. Pour me faire jouir, c’est comme ça qu’on fait. » Puis elle m’a embrassé et ça a duré longtemps. Plus tard elle a commencé à gémir, et, au bout d’un moment, elle a lancé un petit cri, puis serré les cuisses tout en retirant ma main.
Comme par miracle l’arrivée des plats interrompt l’histoire au bon moment. Nous commençons à manger, et j’entame cet amusant exercice consistant à poursuivre une histoire par petits intermèdes, entre chaque bouchée dégustée. Cela hache le discours, et en l’occurrence je trouve cela bien, le temps pour l’auditrice de digérer chaque phrase imagée, tout en partageant ces plaisirs gastronomiques. C’est encore mieux que ce que je croyais. L’histoire reprend :
— Alors, après un moment, elle a dit : « À ton tour. » Joignant le geste à ...