1. On se déshabillera plus tard


    Datte: 24/09/2018, Catégories: fh, hplusag, médical, revede, pénétratio, Humour h+medical, Auteur: Jeff169, Source: Revebebe

    ... indescriptibles, je me demande toujours si elle va arriver en business woman, post punk soignée, ou Lolita mode.
    
    Ce soir, c’est blue-jean tee-shirt décontracté. Je ne connaissais pas au répertoire. Il n’y avait manifestement pas de rendez-vous client aujourd’hui. Pas de soutif sous le tee-shirt, Sylvie à cette taille de poitrine idéale qui fait qu’on se demande toujours s’ils sont gros, ou moyens, peut-être même petits finalement. Mais non, une certaine lourdeur pèse sous le tee-shirt. Bref, des mecs en parlant de mémoire ne sauraient pas s’accorder sur le commentaire approprié. C’est ça qu’il y a de bien avec Sylvie, la géométrie variable.
    
    — Alors, ta vierge de province, elle est partie en courant ? commence Sylvie.
    — Eh non, d’abord elle n’est pas vierge et finalement, je sens qu’elle
    
    s’attendrit vite.
    
    — Je croyais que tu m’avais dit qu’elle était vierge.
    — Non, j’ai dit que je le pensais, nuance.
    — Tu vas pas te taper cette gamine quand même, dit Sylvie sur un ton de reproche.
    — D’abord, elle est majeure et tu te tapes bien ton avorton boutonneux, toi !
    — D’abord, l’avorton n’a pas de boutons, il est jeune, c’est pas pareil.
    
    Puis elle poursuit :
    
    — Alors, quelle histoire salace tu as réussi à caser ?
    — Ma première fois, c’était ce que chacun devait raconter !
    — Non, j’y crois pas ! Tu lui as demandé ça ?
    
    Roger, notre barman préféré, nous ravitaille en chips. Je remarque bien qu’il ne manque pas, quand la proximité le permet, de choper deux ou ...
    ... trois phrases de nos conversations. Il semble apprécier les thèmes abordés.
    
    — L’histoire racontée fut sibylline. C’est la mienne d’histoire, que j’ai chargée un peu.
    — Alors, elle t’a pas traité d’immonde canard lubrique ?
    — Non, elle était à peine plus rosée que mon magret, même qu’elle revient jeudi.
    — Qu’est-ce que tu vas lui raconter ce coup-ci ?
    — L’histoire de la coincée.
    — La coincée ?
    — Si, je t’ai raconté, le bout de bois, quand j’étais en dernière année, je précise alors.
    — Ah oui. T’es un taquin toi, c’est réfrigérant ce truc.
    — Non, on va inventer une suite…
    
    Et on commence à concocter un petit scénario salace tous les deux. Après quelques bières, c’est à son tour de me raconter ses dernières turpitudes. Rien de bien excitant, les petites contingences de la vie de bureau, pas de quoi fouetter un chat. Son queutard la saute demain soir, mercredi donc, tu parles d’une raison pour pas venir au bar ! Mais rien à faire, les petits plats dans les grands, ça demande du travail. On se promet de se voir jeudi soir, pour mon compte rendu, en échange de détails sur les angles intéressants du jeune maître queue, c’est promis.
    
    Jeudi, même table, même heure, nous voilà à nouveau assis l’un en face de l’autre. Tenue de printemps, jupe à pois, chemisier à fleurs pas vraiment assorti. Je n’ai pas ce genre d’appétit, de voir la femme tout le temps impeccablement habillée. De temps en temps, oui. Le soutien-gorge est différent, les tétons pointent, il ne fait pourtant ...
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