1. Une histoire texane


    Datte: 14/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... tu le voudras, jusqu’à ton exécution.
    
    Jennifer accepte cette offre, tout en sachant que des caméras permettront à la directrice perverse ainsi qu’à son amie, la femme du gouverneur, de récupérer ces images macabres. Une fois le corps détaché, encore chaud et fumant, elle le charge sur ses épaules et parcourt ainsi les couloirs de la mort jusqu’à son lieu de détention. Pendant plusieurs semaines, elle caresse la peau livide sous laquelle les muscles se sont raidis. L’odeur de la chair en cours de décomposition est infecte, mais Jennifer n’en a cure : elle continue ainsi à aimer Abigail. Abby et Cassie se masturbent ensemble en regardant les surveillances vidéo – les parfums macabres en moins.
    
    * * *
    
    Un mois plus tard, c’est au tour de Jennifer de s’asseoir sur la chaise électrique. Mais elle refuse l’avilissement dans laquelle sa compagne est tombée. Elle veut mourir droite, sans trembler. Cassie et Abby lui accordent ce droit, exceptionnellement, parce qu’elle est docile et qu’elle sait très bien leur lécher la fleur sexuelle, lorsqu’elle est convoquée dans le bureau de la directrice.
    
    Jennifer est déjà dévêtue, maquillée et le corps huilé, comme une gladiatrice. Barbara l’a aidé à se préparer. Elle se lève calmement, sans exprimer aucune opposition, et suit les matonnes à travers les couloirs sordides en se tenant très droite. Cette détermination à mourir la tête haute force le respect du personnel pénitentiaire ainsi que autres détenues, dont certaines ...
    ... applaudissent derrière leurs grilles ; d’autres hurlent, pleurent ou rigolent, rendues folles de terreur à cause de ce qui les attend. Elle entre dans la salle d’exécution qui est illuminée de nombreux projecteurs. Sa poitrine est parée d’une rivière de diamants, cadeau d’une admiratrice fortunée. Le bijou déverse alentours ses milliers de feux.
    
    Pour qu’il lui fiche la paix, elle a rapidement sucé le prêtre qui s’était proposé de la « confesser », pendant que l’homme d’église l’aspergeait d’eau bénite avec son goupillon qu’elle s’est ensuite fourré dans l’anus tout en se caressant le clitoris, devant lui. Le tout n’a pas duré plus des dix minutes règlementaires. Elle dédaigne la dernière cigarette et le verre de rhum. Il est de tradition que les condamnés à mort américains mangent ce qu’ils veulent au cours de leur dernier repas, mais pour ne risquer aucun soulagement gênant au moment fatal, elle s’est imposé un jeune complet de vingt-quatre heures et s’est purgée dans sa cellule. Elle n’est pas entravée et personne ne la soutient. En traversant les couloirs de la mort, elle marche seule, la tête haute, vers son lieu d’exécution, sans aucun espoir d’y réchapper, exaltée par sa nudité, comme une guerrière celte, et par le souvenir d’Abigail. Cette fois, il n’y a pas soixante spectatrices, mais deux cents, toutes des femmes, issues du gratin de la société texane.
    
    Pour cette exécution capitale, afin de parfaire l’ambiance, Abby et Cassie ont fait les choses en grand, avec tout un ...