Une histoire texane
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... policières et la maman ont utilisé des godes-ceintures afin de pénétrer Jennifer par le vagin et par l’anus, très profondément, ce qui a déclenché d’insupportables orgasmes, tandis que les chatouillements ne cessaient jamais, malgré les supplications de la gardée à vue.
Épuisée, celle-ci a fini par avouer le meurtre, puis avoir dévoré le cadavre afin qu’il n’en restât rien. Ces aveux, bien que consignés par écrit et signés par Jennifer, n’ont pas suffi à faire cesser le supplice, qui était trop
plaisant à pratiquer pour y mettre si vite un terme. C’est ainsi qu’elle a été torturée toute la nuit, malgré ses supplications. C’est également ainsi que la belle jeune femme se retrouve enfermée derrière les grilles d’une cellule en attendant son exécution. Dans les médias, bien loin de la compassion, elle ne suscite que la vindicte populaire, car la foule a soif de sang lorsque ses instincts les plus vils sont flattés. Ce besoin de mort sera satisfait par un engin parmi les plus ignobles conçus par l’homme : la chaise électrique.
Durant le procès, la procureure Diana l’a montrée du doigt en énonçant :
— Regardez-la bien, Mesdames les jurées. En dépit des apparences, elle n’est pas une femme. Car voici un monstre femelle. Notre société a-t-elle besoin de supporter sa présence ? Non. Avons-nous le droit de la faire souffrir ? Oui. De la faire mourir ? Encore oui. Vengeance ! Vengez cette famille endeuillée. Si vous votez la mort, vous aurez le droit s’assister à ...
... l’exécution. Ce sera, je vous le promets, un grand moment d’excitation sexuelle. Car est-elle vraiment coupable ? Je ne crois, mais après tout, peu nous importe ! Nous tenons une là une victime expiatoire à notre besoin de cruauté. Regardez comme elle est belle. Imaginez-là sur la chaise, nue, attachée, tellement vulnérable, suppliante, et là, clac, il suffit d’abaisser un lever. Trente mille volts ! La mort ! La mort !
Sous sa robe rouge, elle avait inséré des boules de Geisha dans son vagin, et avait joui tout en plaidant. Le verdict avait été prononcé à l’unanimité. Jennifer s’était effondrée en larmes dans les bras de son avocate. Diana exultait, plus encore lorsqu’elle a appris qu’il n’y aurait pas d’appel. Deux mois plus tard, Abigail a été condamnée à une peine identique et enfermée dans la même prison.
Jennifer est une détenue modèle. Les matonnes ne font preuve d’aucune brutalité envers elle, et adoucissent souvent son quotidien par des repas améliorés, et autres petites attentions. Celles qui le veulent entrent dans la cellule et ont une relation sexuelle avec elle. Jennifer ne s’y oppose pas. En réalité, si elle n’a pas fait appel, c’est parce que promesse de son exécution l’excite. Consciente de sa beauté, elle veut une mort spectaculaire, comme les sacrifiées antiques sur les autels des dieux jaloux et gourmands de vénustés humaines.
Abby est la directrice de cette prison pour femmes. Elle est l’amante de Cassie, l’épouse du
gouverneur de l’État du Texas, ...