1. Une histoire texane


    Datte: 14/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... plus de rire convulsivement. Et ils sentent bon. Ils ont de merveilleux parfums. Il est dommage que ce soir, tout soit terminé pour toi. J’aurai du mal à trouver d’aussi beaux pieds où promener mes doigts. Sauf peut-être ta douce amie ? Mais bientôt, ce sera son tour également. Vraiment, j’adore ce boulot, et je n’en changerais pour rien au monde. Je suis bien payée, mais je le ferais même gratuitement.
    
    — Pitié, je n’en peux plus, sanglote Abigail.
    
    — Ne t’inquiète pas : nous allons en finir maintenant. Il est minuit : c’est l’heure.
    
    Cassie fait un signe à Jennifer, qui pose sa main sur la manette. Abigail se tend, ferme les yeux et suce son pouce. Sa vie entière défile devant ses yeux. Ultime humiliation, elle ne peut s’empêcher d’ouvrir les vannes, et un flux doré s’échappe devant elle. Dans la salle, dans le bourdonnement des vibromasseurs, on entend les gémissements de volupté des spectatrices qui jouissent. Le sol est inondé de mouille. Abby hurle sous l’effet de l’orgasme. Abigail aussi. Avec sa télécommande, Cassie a poussé les vibrations au maximum.
    
    — Attendez, crie Cassie ! Je viens d’avoir mon mari, le gouverneur, au téléphone : il accorde sa grâce. L’exécution est annulée.
    
    Un brouhaha réprobateur parcourt l’assemblée. La séance est ratée ! Abby libère Abigail qui n’en croit pas sa chance. Jennifer exulte, elle se jette dans ses bras.
    
    Abigail allait rentrer dans sa cellule lorsque Cassie la retient :
    
    — Non, c’était une blague. L’exécution doit ...
    ... bien avoir lieu. Vous y avez cru, hein ?
    
    — Non, non, je vous en supplie, gémit Abigail !
    
    Le sol semble se dérober sous les pieds d’Abigail, qui se met à genoux devant Abby et Cassie, et leur suce les pieds à travers les sandales. La directrice et la femme du gouverneur aiment bien qu’on s’humilie devant elles : cela leur donne l’impression de renforcer leur pouvoir sur les gens. Puis les gardiennes la relèvent de force. Jennifer lui souffle à l’oreille :
    
    — Courage, mon amour. Relève la tête et ne pleure plus. Ces enfoirées seraient trop contentes.
    
    Abigail est de nouveau attachée, et Jennifer est obligée, cette fois, d’abaisser le levier. Abigail ne meurt pas immédiatement, car le courant n’est pas assez fort. Elle ne perd même pas connaissance. Son corps commence à brûler dans une odeur atroce de chair calcinée . Dans un dernier souffle, elle maudit ses tortionnaires, et rend l’âme en serrant son ours en peluche contre elle, de toutes ses dernières forces. Dans la salle, c’est le délire érotique. Soixante femmes sadiques jouissent en même temps.
    
    Jennifer est priée de mordre un gros orteil d’Abigail, afin de vérifier que celle-ci est bien morte. Elle obtempère, d’autant puis qu’elle a toujours aimé sucer les pieds de sa compagne ; elle ne se contente pas de mordre, mais elle lèche aussi les petits petons devenus tous froids.
    
    — Si tu veux, lui propose Abby, tu peux emporter dans ta cellule le cadavre de sa copine. Comme ça, tu pourras t’exciter dessus autant que ...
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