1. Une histoire texane


    Datte: 14/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Jennifer, 20 ans, est incarcérée dans une prison texane. Elle attend l’exécution de sa peine capitale dans le couloir de la mort.
    
    Deux ans auparavant, elle a été condamnée pour l’assassinat de son mari avec l’aide de sa maîtresse prénommée Abigail, une jeune femme de son âge avec laquelle elle entretenait une relation lesbienne depuis son mariage. Les délibérations du jury n’ont duré que quelques minutes avant de prononcer la sentence fatale. Ce sera la chaise électrique. Jennifer n’a même pas tenté de faire appel, malgré les encouragements de son avocate et le manque de preuves. Le cadavre ayant disparu, la culpabilité des deux complices n’a été établie que sur la foi des seuls aveux de l’épouse infidèle.
    
    Ce que le dossier ne mentionnait évidemment pas, c’est que ces aveux ont été arrachés sous la torture, dans le sous-sol des bureaux du shérif Mary, une femme cruelle et nymphomane, assistée de ses deux adjointes Sarah et Lisa. Jennifer a d’abord été forcée de se dévêtir entièrement sous le regard inquisiteur des trois policières jalouse de la beauté de leur suspecte. À cette époque, Jennifer était pudique. Elle a pleuré tout en retirant ses vêtements, en tentant d’abord de cacher son sexe et ses seins avec ses mains, après avoir ôté sa culotte. La shériffe et ses deux adjointes en avaient mouillé dans la leur.
    
    Hélas pour Jennifer, ce n’était que le commencement d’un long moment de cruauté lesbienne. Les policières l’ont fouillée avec un soin particulier, ...
    ... jusqu’entre ses orteils et dans les moindres plis de ses cavités intimes, inspection qu’elles ont pratiqué de leurs mains gantées de latex avec une certaine délectation, bien que déçues de n’y avoir pas trouvé d’arme. Jennifer sanglotait. Mais elle a été obligée de se plier à la fouille, car force devait rester à la loi.
    
    Mary avait installé au sous-sol de son local un fauteuil d’interrogatoire qui était confortable, mais dont les liens, de larges ceintures de cuir, permettaient d’immobiliser totalement la suspecte par membres. Grâce à cet outil, elle avait pu obtenir des résultats spectaculaires dans la répression du crime et de la délinquance. Dans son fauteuil, les langues se déliaient à coup sûr, et les auteures de faits passaient à table, de gré ou, de préférence, de force. Ainsi, celle de Jennifer.
    
    Jennifer a subi des chatouilles jusqu’à en perdre la raison. Ses pieds particulièrement, d’une sensibilité extrême, ont reçu pendant des heures d’horrible guili-guili. Elle en tressautait sur son siège. Puis Mary a pris un gros vibromasseur Hitachi qu’elle a plaqué sur le clitoris de sa prisonnière afin de la forcer à jouir encore et encore. Elle hurlait à pleins poumons, jusqu’à ne plus avoir de voix. D’autres femmes sont venues assister à l’interrogatoire. Il y avait en particulier la mère de la victime, naturellement très en colère contre Jennifer ; elle a été autorisée à participer à ces actes de barbarie chatouilleuses, dans un état de haine absolument implacable. Les ...
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