1. Une histoire texane


    Datte: 14/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... rose se trouvent parfaitement exposés en pleine lumière, ce que représente une épreuve supplémentaire pour la timide Abigail.
    
    Classiquement, l’exécution commence par une séance de torture chatouilleuse mêlée d’orgasmes obligatoires. Cassie, qui fait office d’exécutrice des hautes œuvres de justice – c’est sa passion -, enfonce dans le vagin, avec douceur, la boule métallique. Celle-ci possède une fonction vibromasseur, très puissante. Un autre engin vibrant est plaqué sur le clitoris. Chacune, dans la salle, ouvre de grands yeux gourmands. La pudique Abigail essaie d’éviter de jouir devant cette assemblée, afin de garder un peu de dignité au moment de trépasser, mais c’est peine perdue : les orgasmes déferlent sur elle qui ne peut plus lutter, brisée, anéantie par la justice de son pays. Elle en vient à souhaiter la mort qui lui est promise.
    
    Chacune des spectatrices a le droit de chatouiller la condamnée pendant deux minutes ; il est très frustrant d’être obligée de cesser pour laisser la place à la suivante, mais sans cela, le jour se lèverait sans qu’on ait eu le temps de procéder à l’exécution capitale. Celles qui disposent d’un gode peuvent pénétrer par le trou qu’elles veulent, ou bien branler le clitoris avec leur vibromasseur, au choix, voire les deux en même temps. Jennifer est elle-même priée de participer. Cela lui rappelle les jeux de soumission et de domination auxquels elle jouait avec sa compagne. Mais là, pas de mot de sécurité : c’est pour de vrai. Ce ...
    ... qui n’empêche pas les paroles d’amour et de tendre réconfort.
    
    Le moment fatal arrive. Jennifer comprend en échange de quoi elle a eu le droit d’embrasser Abigail pour la dernière fois : elle doit abaisser elle-même le levier qui enclenchera le passage du courant électrique. Elle est horrifiée, mais elle sait qu’elle doit obéir. Le cœur brisé, elle obéit.
    
    — Adieu, mon amour, dit Jennifer entre deux sanglots. Pourras-tu me pardonner ? Nous nous retrouverons bientôt dans le ciel.
    
    — Adieu, ma chérie, répond Abigail d’une voix faible, déjà épuisée par les tourments qu’elle vient de subir. Fais-le. Je sais bien que tu es obligée, alors tu n’as rien à te reprocher.
    
    — As-tu une dernière volonté à exprimer, un dernier mot avant de mourir, lui propose Abby, visiblement très excitée par l’émotion qui se dégage de ce moment tragique ?
    
    — Oui, demande Abigail : je voudrais serrer contre moi mon ours en peluche au moment de mourir. Je peux ? Il se trouve dans ma cellule.
    
    — Accordé, dit Abby.
    
    Elle lui détache un bras pendant qu’une matonne apitoyée cours chercher la peluche. Abigail a très peur de la mort, mais l’ours la rassure un peu. Car Jennifer ne peut même pas lui tenir la main au moment fatal, car elle serait électrocutée aussi.
    
    — Tes petits petons sont magnifiques, dit Abby en chatouillant encore les pieds. J’ai toujours adoré te torturer en les chatouillant. Si fins et si doux au toucher ! Tes orteils sont un bonheur, là, quand tu frémis et que tu n’en peux ...
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