Une histoire texane
Datte: 14/09/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... genoux, les deux mains attachées sur le prie-Dieu. Mais elle n’a rien à dire, rien à confesser, sinon un hoquet de terreur que l’homme d’église lit dans son regard perdu, ce qui le fait bander au point qu’il relève sa soutane et se branle devant la pauvre condamnée, avant d’éjaculer sur le visage en larmes.
Dans quelques minutes, on mettra une fin brutale à la vie d’Abigail. Elle n’a que vingt ans. Elle est sidérée par l’énormité du scandale qui lui tombe dessus. Pauvre Abigail aux grands yeux d’azur et aux courts cheveux de jais. Ses geôlières se sont acharnées à lui rendre la vie impossible, derrière les barreaux. Elle est presque heureuse que cela se termine.
Jennifer et Abigail sont autorisées à s’embrasser avant l’exécution. Elles ont dix minutes pour cela, sous les yeux égrillards des matonnes. Elles prennent cette liberté à pleine bouche, sans se douter que la condition pour en bénéficier sera cruelle.
La salle d’exécution est comble. Les neuf jurées, la juge, la procureure et l’avocate sont bien-sûr présentes, non seulement parce qu’elles sont tenues de se trouver là, mais parce qu’elles n’auraient laissé leur place pour rien au monde. Comme il restait des chaises vides, on a proposé à la cinquantaine de femmes qui manifestaient dehors leur haine envers la détenue de se joindre à la fête. Elles ont hâte de voir griller Abigail. Elles ont toutes, sur elles, leur vibromasseur ou leur godemiché, afin de se masturber pendant l’exécution et de jouir d’une ...
... manière sadique. On peut dire, sans exagérer, que l’atmosphère est « électrique ». La mise à mort doit avoir lieu à minuit précise. Tout un protocole, très strict, se met en branle. Les spectatrices, aussi. L’une d’elles a même emmené un lourd Sybian afin de s’asseoir dessus, pantalon et culotte aux chevilles. Les gardiennes fournissent multiprises et rallonges, et même piles de rechange, à celles qui en ont besoin. Bonbons, caramels, esquimaux, chocolats. En attendant que l’on commence, quelques couples de lesbiennes font l’amour au dernier rang. Rapidement, un délicieux parfum de stupre féminin règne dans la pièce.
On emmène Abigail qui, terrorisée, n’a plus de larmes. Elle est attachée, après avoir retiré sa combinaison orange et donc complètement nue, sur la chaise électrique. Il s’agit en réalité d’un équipement proche du fauteuil de torture chatouilleuses qu’elles ont connu l’une et l’autres, mais agrémenté d’une grosse boule métallique reliée à un câble, à insérer dans le vagin après lubrification. Les liens qui retiennent les bras sont des fers reliés à la masse. Avec horreur, Abigail se rend compte qu’elle va mourir quand une différence de potentiel de trente mille volts entrera par le pôle positif dans son vagin, puis traverseront ses viscères avant de ressortir par les bras.
Le fauteuil destiné exécuter la peine capitale est ainsi conçu que le bassin de la condamnée est légèrement basculé en arrière, de sorte qu’à la fois le sexe et le mignon petit troufignon tout ...