1. Naturels


    Datte: 14/08/2023, Catégories: fh, grosseins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, entreseins, fsodo, rencontre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... toujours lentement vers moi, le soleil couchant lançant ses derniers rayons dans la courte chevelure bouclée. À mon tour, lentement, je m’approche d’elle, je la capture dans mes bras, nous nous embrassons d’abord doucement, puis de plus en plus passionnément.
    
    Le temps semble suspendu, figé, statufié. J’adore le goût de ses lèvres sucrées, son parfum capiteux qui envahit, ses seins lourds aux tétons bien dardés contre ma chemise, ses bras soyeux qui enlacent mon cou… Plein de choses, tant de choses…
    
    Un peu plus tard, nos lèvres se séparent, nos nez posés l’un contre l’autre. Assez surprise, Magalie murmure :
    
    — Eh bé !
    — C’est rare de vous entendre dire si peu de choses…
    — C’est ça, moquez-vous ! C’est dingue ça ! Je me sens redevenue collégienne ! Pourtant, j’ai passé l’âge !
    
    Je la serre un peu plus contre moi :
    
    — Ah, ça ne va pas faire mes affaires ! N’oubliez pas que je suis partisan de la même tranche d’âge en ce qui concerne mes amours.
    — Idiot ! Espèce de gros idiot !
    
    C’est à partir de cette réplique que les choses s’accélèrent grandement.
    
    Je me penche à nouveau sur elle pour l’embrasser. Elle ne s’y oppose aucunement. Notre baiser dure longtemps, commençant à fort tendre pour finir à très passionné. Mes mains se baladent voluptueusement sur son dos dénudé, mes pouces s’offrant parfois le luxe d’aller se glisser sous la masse charnelle d’un sein lourd ou de caresser son attache. Durant ce temps, Magalie n’est pas en reste, ses mains se révélant ...
    ... aussi très baladeuses, sans oublier le fait qu’elle se frotte éhontément contre la dure bosse de mon pantalon. Au moins une femme qui sait ce qu’elle veut et qui ne fait pas semblant !
    
    Quand nos lèvres se décollent et que nous reprenons notre souffle, je constate que ses beaux yeux verts brillent intensément et que son sourire est une claire invitation à faire monter d’au moins un cran la température ambiante ! Si ce n’est de deux ou de trois crans…
    
    — J’ai une énorme envie de vous, Magalie…
    — J’espère bien que oui…
    — Ma mère m’ayant bien éduqué, même si je n’ai pas tout retenu, je préfère vous laisser la liberté de vous enfuir avant que je ne me transforme en grand fauve décidé à croquer la frêle jeune femme innocente que vous êtes !
    
    Elle me décroche un sourire encore plus incitateur :
    
    — C’est bien dit, grand fauve. Mais permettez-moi de rectifier quelques points de détail…
    — Je vous écoute…
    — Frêle, avec toutes mes courbes qui débordent, c’est un adjectif mal approprié…
    — Admettons.
    — Jeune, je suis assez réaliste quant aux années qui passent…
    — Elles glissent sur vous.
    — Innocente, c’est très, très loin derrière moi…
    — On pense tout savoir, mais parfois on découvre d’autres horizons.
    
    Elle se plaque contre moi, me faisant bien sentir les deux masses chaudes de ses seins bien lourds :
    
    — Ah oui ? Et lesquels, par exemple ?
    
    Pour toute réponse, je me décale en pivotant un peu sur le côté, afin de libérer un sein, tout en maintenant écrasé l’autre ...
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