1. Naturels


    Datte: 14/08/2023, Catégories: fh, grosseins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, entreseins, fsodo, rencontre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Arrivée à un carrefour, elle fend le silence :
    
    — Au fait, vous habitez où, Victor ?
    — Quand je monte sur la Capitale, je réside dans mon petit appartement pas loin de Montparnasse et de sa gare, sinon je vis habituellement en Vendée.
    — La Vendée, c’est nettement plus beau que Paris.
    — Oui, c’est certain. Et c’est aussi plus calme. Sauf peut-être en plein mois d’août.
    
    Étant assez curieuse de nature, Magalie se renseigne :
    
    — À Paris, c’est un appartement de célibataire, une garçonnière ?
    — Je me proposerais bien de vous le faire visiter, pour que vous vous fassiez votre propre idée…
    — Je n’en attendais pas moins de vous. Allons-y de ce pas.
    
    On dit que l’homme propose et que la femme dispose, mais ce soir, je ne me souvenais pas d’avoir proposé le premier une visite guidée de mon appartement…
    
    Quelque temps plus tard, nous arrivons dans mon appartement. Il n’est pas bien grand, mais il est utile quand je viens dans la Capitale. Une salle à manger faisant aussi office de salon, une mini-cuisine, une petite salle de bain et ainsi qu’une chambre, le tout sur cinquante mètres-carrés, ça me suffit amplement.
    
    — Je retire ce que je n’ai pas dit, Victor, ce n’est pas du tout une garçonnière.
    — Mais vous l’avez pensé très fort, n’est-ce pas ?
    
    Évitant de répondre, Magalie désigne les grandes bibliothèques qui tapissent la pièce centrale :
    
    — Vous êtes amateur de livres, à ce que je vois ?
    — On ne peut rien vous cacher. À ce propos, enlevez donc votre ...
    ... manteau, vous serez plus à l’aise.
    — Et vous, vous serez plus à l’aise pour mater mon absence de soutif… N’est-ce pas ?
    — Une fois de plus, on ne peut rien vous cacher.
    
    Néanmoins, elle ôte son manteau. Je pars le déposer sur le dossier d’un fauteuil. Revenant vers elle, je ne peux m’empêcher de contempler sa poitrine opulente dont les deux tétons pointent ostensiblement sous le tissu. Me voyant faire, elle sourit :
    
    — Je vois que ces petits coquins vous intéressent…
    — J’éviterai de répondre la même chose que Voltaire.
    — Ah ? Et il a dit quoi, Voltaire ?
    
    Je relate l’anecdote :
    
    — Lors d’une soirée, Voltaire louchait fortement sur la poitrine avenante d’une dame très mature. Celle-ci lui a demandé : à votre âge, Monsieur, vous vous intéressez encore à ces petits coquins ? Voltaire a aussitôt répondu : à ces grands pendants, Madame.
    — Ah d’accord… Vous les trouvez pendards ?
    — Pas du tout, Magalie, ils sont charnels, ils sont lourds, mais pas pendards.
    
    Elle s’approche de moi :
    
    — Vous voulez vérifier ça tout de suite, ou bien on fait semblant d’attendre encore un peu ?
    — Je crois que nous sommes des adultes responsables.
    — Adultes, oui. Responsables, ça dépend les jours.
    — Et les soirs ? Ce soir, en particulier ?
    
    Pour toute réponse, Magalie ôte son haut révélant son magnifique torse aux fabuleux seins qui pointent vers moi. Ils oscillent sous chacun de ses pas, et ça me donne des sueurs chaudes et des picotements partout dans le corps !
    
    Magalie avance ...
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