Chrysalide
Datte: 12/08/2023,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... qu’elle ne fut pas malade et put profiter pleinement de la balade et de mes attentions dans une forêt de pins.
— J’ai passé les deux plus belles semaines de ma vie. Merci…
— Ah ! Eh bien ça, ça se fête !
— Tout à fait, répondit-elle.
C’est ainsi qu’elle plongea vers ma braguette sur la route du retour. Et ce furent les seules paroles que nous échangeâmes de tout le voyage. Parce qu’en plus elle n’était pas chiante, parlait peu, je la savais intelligente et efficace dans le travail que nous accomplissions ensemble. Elle avait prodigieusement changé en quelques semaines, de look, de comportement, de vie aussi. Sans être devenue top-modèle, ses traits réguliers et ses appas généreux faisaient qu’on la remarquait, elle passait maintenant pour une belle femme, sexy et extrêmement désirable. Je la désirais, certes, cependant je continuais de penser que je n’en étais pas amoureux. Je fis l’expérience d’aborder d’autres jolies femmes, de leur parler aimablement sans véritablement les draguer. J’y pris un certain plaisir, mais ne fit cependant pas le goujat. Claudia ne fit aucune remarque et ne montra pas de signe de jalousie. Tout juste se fit-elle encore plus empressée à satisfaire mes caprices érotiques. Et moi, je lui faisais l’amour exactement comme si je l’avais fait avec mon interlocutrice d’un moment, avec détachement, juste pour le plaisir.
Cette relation trop facile finit par me peser. Moralement, je me sentais coupable d’abuser de cette femme et de ses ...
... sentiments, de n’être que vil profiteur, et ça me mettait mal à l’aise. Mal à l’aise jusqu’au moment où je l’approchais et que nos corps prenaient le pas sur nos pensées, que leur mémoire dépassait notre raison et qu’à chaque fois la magie de l’attraction sensuelle nous dominait. Nous devenions amants « aimants », pas dans le sens du verbe aimer, mais bien dans celui d’une attraction magnétique, inversement proportionnelle au carré de la distance qui nous séparait. Loin d’elle, je n’y pensais plus. Mais il suffisait d’une réunion de l’association où je siégeais à ses côtés pour qu’aussitôt je tombe dans le désir des pires turpitudes. Je m’en ouvris à Claudia qui répondit :
— Et alors ? Quel mal y a-t-il à cela ? Nous ne faisons de tort à personne et sans toi je serais encore vieille-fille rabougrie ne rêvant que de scènes passionnelles édulcorées façon « Autant en emporte le vent ». Grâce à toi, j’ai mes moments d’extase et j’en profite d’autant plus qu’ils sont rares…
Que répondre à cela, sinon de profiter à l’envie de cette aubaine. Maîtresse en pointillé, maîtresse parmi d’autres, elle le savait, je ne me cachais pas, elle l’acceptait également sans jamais poser la moindre question. Je me consolais dans ses bras de quelques chagrins d’amour, son corps voluptueux me faisait tout oublier et me redonnait goût à la vie, à la conquête. Pire, je tombais amoureux d’une superbe jeune femme rencontrée lors d’un forum et me mariai. Bien sûr, je l’ai annoncé à Claudia, de vive voix, un ...