1. Chrysalide


    Datte: 12/08/2023, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, fsodo, mélo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... ses seins prêts à gicler hors des frêles protections.
    
    Je vivais un sentiment ambigu entre fierté d’exhiber ainsi ma partenaire et agacement de tous ces regards posés sur ses avantages. Elle était plus rouge de pudeur que de soleil et n’osa pas bouger de sa serviette le premier jour. J’en profitai pour l’enduire de crème solaire, montrant ainsi le côté pratique du mini bikini, n’hésitant pas à insister lourdement mes massages entre ses fesses et sur ses seins. Le résultat était directement visible à l’humidité qui sourdait d’entre ses cuisses et aux pointes dressées qui cherchaient à perforer la parcimonieuse étoffe. Nous attendîmes que la plage se vide, que le soleil décline et que la marée soit haute pour aller dans l’eau. Ce n’était pas son milieu favori. Elle ne nageait que la brasse, ayant bien soin de tenir la tête hors de l’eau pour ne pas mouiller son épais chignon.
    
    Plus grand qu’elle, j’avais pied où elle ne l’avait plus, je la forçai à s’accrocher à moi des bras et des jambes, occasion trop belle de la baiser dans l’eau. Juste un boxer à rabattre et une ficelle à déplacer. L’incongruité du lieu, la crainte d’être vus l’affolèrent un instant, mais la puissante réalité de ma queue dans sa chatte et de mes doigts dans son cul lui fit perdre rapidement toute raison. Faire l’amour dans l’eau n’a pas que des avantages. La diminution du poids permet de ne pas fatiguer, mais le lessivage permanent des orifices altère la lubrification. Ainsi, la sodomie est quasi ...
    ... impossible sans douleur, et je n’insistai pas après deux essais non concluants. Ce qui m’excitait le plus, c’était ses seins qui, déjà gros à l’air, paraissaient énormes dans l’eau salée où ils flottaient comme deux ballons magnifiques. Cette vision me porta rapidement à l’éjaculation, ma compagne contint toute exclamation en fourrant son museau dans mon cou, longue étreinte agitée de soubresauts.
    
    Dans l’eau ou ailleurs, je n’ai pas souvenir d’avoir autant fait l’amour que durant cette quinzaine. Au moins quatre fois par jour, et ce n’était qu’une moyenne ! Ça peut paraître beaucoup, mais le corps s’habitue vite et ça devient aussi spontané qu’un baiser ou dire « je t’aime », ce que je me gardais bien de déclarer. Claudia ne protestait jamais, ne se dérobait jamais, elle était toujours d’accord, pour le sexe comme pour le reste. Agacé au début par cette abnégation, je m’y habituais progressivement, comme à sa présence permanente à mes côtés. En fait, je pris le parti de vivre ma vie et elle suivait. Même le jour où je voulus faire du bateau et où il s’avéra qu’elle avait le mal de mer. Je pris pitié d’elle, sachant combien ce malaise est pénible, et je rentrai au port plus vite que prévu. Mais quand je voulus aller faire un tour dans les îles proches avec le « traîne-couillons », elle vint aussi. Je pris malgré tout la précaution de lui scotcher le nombril avec un sparadrap. Est-ce cela ou la stabilité du gros bateau qui, lui, ne s’arrête pas en pleine mer, toujours est-il ...
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