1. Chrysalide


    Datte: 12/08/2023, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, fsodo, mélo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... grange d’environ soixante mètres-carrés, des véhicules visiblement, reposant sous des housses de toile. J’aperçus également çà et là une charrette aux bras levés et la forme d’une moto également couverte d’une housse. J’appelai mes amis qui entrèrent avec précaution. Nous dégageâmes les voitures de leurs enveloppes. J’avoue ne guère connaître les voitures anciennes, mais ces noms me disaient quelque chose : cabriolet Hispano Suiza, Triumph GT Spirit, Alfa Roméo coupé Sprint ! Que du beau, du très beau même… L’époux de notre bienfaitrice avait un goût excellent pour les coupés sportifs et sûrement beaucoup d’argent. Mort des années avant elle, la vieille dame n’avait visiblement jamais voulu toucher aux trésors de son bien aimé mari, préférant laisser à la nature exubérante du parc le soin de les « enterrer ». Une aubaine pour nous, des chiffres astronomiques émaillaient les conversations. Il ne faudrait peut-être pas rêver… Toutefois, des passionnés de belles mécaniques se proposèrent de les remettre en état et, pourquoi pas, de tenter de les faire démarrer, ce qui en augmenterait la valeur.
    
    Les surprises n’étaient pas terminées : nos braves ménagères osèrent s’aventurer jusque dans la cave, une superbe double voûte sous tout le bâtiment principal. D’un côté, il y avait une vieille chaudière à fuel et sa cuve, avec quelques vieilleries sans intérêt. Mais de l’autre, derrière une porte bien cadenassée qu’il fallut faire sauter au coupe-boulons, plus d’un millier de ...
    ... bouteilles dormaient sous une épaisse couche de poussière. Soigneusement rangées dans des casiers de bois par catégorie, il y avait là Bordeaux, Bourgognes, Champagnes, Vins de Loire, Côtes-du-rhône et vins exotiques, et quelques étiquettes évoquèrent des crus connus et des années très anciennes. Un véritable trésor pour des collectionneurs et des œnologues.
    
    Comme promis, j’allai le soir chez Claudia. Sans surprise, elle avait prévu un merveilleux dîner. Sans mentir le moins du monde, je me déclarai épuisé et, après une bonne douche, m’étalai sur le lit incapable du moindre effort, mais indiquant toutefois que « la boutique était ouverte ». La technique est ancienne, voire éculée, mais néanmoins toujours aussi efficace : la partenaire chevauche et dévoile son propre rythme, ses mouvements favoris, car elle ne pense plus qu’à son propre plaisir. On apprend beaucoup. Je ne rejoignis Claudia que dans son final quand elle s’écroula sur ma poitrine, frappant en cadence mon ventre de son fessier. Un doigt dans sa rosette et une douzaine de coups de reins violents nous portèrent ensemble à un orgasme dévastateur.
    
    Le dimanche permit encore de mettre à jour une jolie gloriette, une serre imposante et les restes d’un court de tennis. L’essentiel des composantes du parc et des allées principales était dégagé, restaient encore deux ou trois week-ends de travail, de plus en plus délicat, pour retrouver un aspect proche du passé sans endommager des espèces intéressantes. Mais il faudrait ...
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