Chrysalide
Datte: 12/08/2023,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... encore au moins une année et une somme considérable pour réensemencer pelouses et massifs, remettre des gravillons clairs, nettoyer à haute pression tous les objets décoratifs, réparer, restaurer, repeindre, bref, redonner de l’allure à tout cela. Et continuer d’entretenir une telle superficie coûterait inévitablement fort cher. C’est ainsi que l’idée me vint, puisque l’objectif était l’insertion de jeunes sans diplôme ni emploi, d’implanter en ce lieu un centre de formation au métier de paysagiste, le parc étant le terrain de travaux pratiques. Il serait ainsi entretenu par les stagiaires, et les domaines généraux de niveau CAP pourraient être ouverts à d’autres profils. L’idée enthousiasma ceux à qui je la confiai, mais il faudrait rapidement établir des dossiers pour être autorisés et financés sur ce projet avec un délai minimum d’un an. Une A. G. extraordinaire était donc nécessaire, elle ne pourrait se tenir que lorsque nous aurions une idée des sommes nécessaires et de ce que la salle des ventes pourrait rapporter.
Le week-end suivant, l’association fit relâche, je décidai d’en faire autant et d’aller voir un vieil ami hospitalisé à plusieurs centaines de kilomètres. La route solitaire m’ennuya fort, surtout au retour, et je ne pouvais éviter de penser que si Claudia était là… En fait, force m’était de reconnaître qu’elle me manquait. Je fis un crochet par son appartement malgré l’heure tardive, elle m’accueillit en peignoir, mais avec un sourire de bonheur, ...
... confirmant que je pouvais passer à tout moment. Ses formes généreuses, enveloppées d’un satin vert qui les soulignait de ses reflets, étaient une invitation au viol. Mais ce n’en fut pas un, car la victime me rejoignit instantanément dans ma fureur sexuelle. Le dimanche, bien que nus à longueur de journée, nous travaillâmes un peu à tous nos projets.
Un peu, par intermittence, car le programme du jour qui trottait dans ma tête était l’anus de Claudia. J’avais eu la virginité de son vagin, de sa bouche, je voulais celle-ci aussi, ça m’obsédait depuis quelque temps. Je passai donc une bonne partie de la journée à la préparer, nettoyer son conduit, l’oindre de gel, l’étirer, avant l’épisode fatidique du soir. Je choisis de la positionner sur le dos au bord du lit, de façon à la rassurer autant du regard que des paroles et d’avoir un accès permanent à son bouton d’amour, clé de la réussite. Dire qu’elle n’eut que du plaisir serait mentir, mais sa bonne volonté et sa totale soumission autorisèrent une complète pénétration, et elle atteignit malgré tout un bel orgasme. Quant à moi, ce fut grandiose. Ce conduit convoité, étroit et palpitant, me donna un plaisir inégalé. Chaque passage de mon pouce sur son clitoris provoquait une contraction des sphincters, étranglant ma queue en la dilatant davantage. Je n’avais quasiment pas besoin de bouger pour ressentir un plaisir inouï. La compression de mon sexe produisit une multitude de jets de sperme brûlant très violents qui inondèrent ses ...