1. Chrysalide


    Datte: 12/08/2023, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, fsodo, mélo, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... et dressé un buffet champêtre devant la maison. Le casse-croûte était le bienvenu, même si nous n’avions pas exploré plus du quart de cette jungle. Après le déjeuner, Claudia me demanda de la suivre au grenier où reposaient quelques vieux tableaux. Le prétexte était un peu gros pour moi, mais personne n’émit aucun commentaire. Comme je m’y attendais, à peine arrivés dans cet antre voué à la poussière et aux toiles d’araignées, elle m’octroya le plus profond et fougueux baiser jamais reçu.
    
    — Vous m’avez tant manqué, murmura-t-elle.
    
    Me prenant une main, elle la glissa sous son sweat-shirt, m’offrant à pétrir ses gros seins aux pointes dressées et avides de caresses. Je lui donnai satisfaction en la retournant et en saisissant à pleines mains ses deux globes tendres tout en la serrant contre moi. Elle sentit bien mon sexe érigé sous la salopette de travail et tortilla du popotin.
    
    — Pas ici, pas maintenant, lui glissai-je, ce soir chez vous.
    
    Elle allait protester quand des pas se firent entendre dans l’étroit escalier. Elle m’attira vite vers un empilement vertical de vieilles croûtes, simplement protégées par un drap jauni. Je fis mine de m’intéresser à ces vieilles chosesa priori sans valeur, quand on vint m’appeler pour une découverte au fond du parc. D’un ton d’organisateur, je demandai à Claudia de descendre les tableaux et de les dépoussiérer un peu pour la venue du commissaire-priseur, et de diriger le groupe des dames peu lestes pour trier et nettoyer un ...
    ... peu les meubles et leur contenu : vaisselle, livres, bibelots, etc.
    
    Une vraie surprise m’attendait au fond du parc : ronces retirées et quelques jeunes arbres fous abattus, une grande grange apparaissait. Un rectangle bistre était bien porté sur le plan du cadastre, mais on ignorait si cette construction était toujours debout ou ne s’ouvrait pas sur la propriété voisine. Lierres, vigne vierge et autres lianes sauvages couvraient encore le bâtiment, mais on devinait de larges portes, des fenêtres même sur le côté. Nous arrachâmes, taillâmes, il fallut une échelle pour dégager le toit et les parties hautes. J’appelai Claudia, pas de clés correspondantes dans le trousseau. Les serrures des portes de granges étaient anciennes et grosses, on demanda aux dames de chercher de grosses clés dans les meubles. C’est au moment où j’allais me résoudre à les forcer, un pied-de-biche à la main, qu’une mamie essoufflée arriva en criant :
    
    — J’en ai une, j’en ai une…
    
    Une grosse clé en effet, un peu rouillée, avec une étiquette de carton attachée par un fil de fer marquée « garage ». La lourde porte frotta, nous craignions de la prendre sur la tête, il fallait être deux pour la tirer et donner de nombreux coups de pelle pour lui permettre de s’ouvrir. Enfin, nous pûmes pénétrer. C’est curieux comme ces gens dévoués, prenant sur leurs loisirs, étaient également respectueux d’une certaine hiérarchie : ils me laissèrent entrer seul.
    
    Trois formes imposantes occupaient l’espace de cette ...
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