Chemin faisant
Datte: 10/08/2023,
Catégories:
ff,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... rayons entre sa foune et le fond du short en sont la preuve. Mais pourquoi se mettre cul nu à son tour, par solidarité bienveillante, ou pour m’inciter à lui rendre la politesse ? Je veux l’interroger pour en avoir le cœur net, mais elle me devance.
— Voyons, Chantal, je ne vais pas te laisser poser tes belles fesses sur des cailloux tranchants… Pose-les sur mon short, tu seras plus à l’aise.
Que répondre à cela, sinon la remercier de sa sollicitude ? D’autant que, même à travers le tissu, je sens la dureté des pierres sous mon postérieur, pourtant rembourré.
— Relève les jambes, continue-t-elle, sinon tu vas ramasser encore plus de terre dans ton jean. Je vais te l’enlever.
J’obéis. Elle m’enjambe et attrape l’espèce de tire-bouchon informe avant qu’il ne glisse au sol. Quand elle le retire, j’ai l’impression d’être un lapin qu’on dépèce. Ce faisant, elle me présente ses fesses à elle, bien dures, bien fendues, et toujours aussi rouges, et la broussaille de poils sombres, poisseux et luisants, de son entrecuisse. Je me sens doublement coupable, de la tannée que je lui ai infligée comme de mon plaisir égoïste.
Je ne dis rien. J’essuie mes mains sur les bonnets douteux de mon soutien-gorge – un peu plus, un peu moins… – avant de caresser doucement les meurtrissures de Colette. Elle non plus ne dit rien, juste un petit gloussement approbateur qui m’invite à continuer.
Oh que oui, je continue ! Je continue tandis qu’elle se penche en avant, le jean à bout de ...
... bras, cherchant à le poser sur le sac pour éviter qu’il traîne dans la poussière. Elle s’étend si loin dans ce touchant souci que je dois la retenir par les hanches et par un jeu de balancier ma figure se retrouve à hauteur de ses fesses. C’est trop tentant, je les embrasse à petits baisers mouillés qui ne leur veulent que du bien.
— Mes fesses vont bien, murmure une petite voix, c’est plus bas que ça brûle…
Mais oui, bien sûr, c’est évident ! Qu’elle reste penchée comme ça. Qu’elle prenne ses fesses à deux mains, qu’elle les écarte à son aise puisque je l’empêche de tomber. Qu’elle m’ouvre sa chatte pour que je calme le feu qui l’inonde.
J’ai le nez dans son cul, j’ai ma langue dans son con. Je bois dans sa fente, je respire dans son sillon. Je caresse son périnée, j’aspire ses lèvres. Je lèche tout, du bouton à l’œillet. J’inhale tout, parfums du con, senteurs du cul. Je lape tout, sueurs et liqueurs. Je veux l’assécher, je veux la combler. Plus rien ne compte, ni la brise rafraîchie, ni la lumière dorée, ni la peur d’être surprises. Plus rien ne compte que faire jouir Colette.
Je ne lâche ses hanches que lorsqu’elle tombe sur ses coudes. Je ne quitte sa fourche que lorsqu’elle crie grâce. J’ai une vue incomparable sur son vagin ouvert et palpitant encore, sur ses lèvres écartées et tremblotant encore, sur son buste creusé et frémissant encore, sur ses seins pantelants dans l’envers du chemisier.
Je laisse le souffle revenir lentement et je pose un bisou tendre ...