1. Chemin faisant


    Datte: 10/08/2023, Catégories: ff, forêt, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... sur sa poitrine, elle masse ses seins. Elle m’abandonne son sexe. Je le lèche sans hâte, sans appuyer, sans tourmenter ses muqueuses. Je le lèche amoureusement. Ma salive se mêle à ses liqueurs. Je lape le plaisir qui efface la douleur. Je fonds de tendresse et d’affection.
    
    — Tes doigts, Colette… tes doigts en moi…
    
    Juste un murmure, comme un soupir, comme une prière. Mes doigts, oui, bien sûr, mais ils sont sales. Je les suce, je les nettoie, je les couvre de bave. Elle s’impatiente, ses yeux m’implorent. Elle gémit, elle se branle, elle va jouir seule.
    
    Vite ! L’index et le majeur dans son vagin. Ils entrent d’un coup, jusqu’au bout. Un petit cri, elle se contracte. J’ai été trop brusque, je lui ai fait mal. Non, elle se baisse, elle s’empale, elle s’agite, monte et descend. J’ai du mal à tenir ma bouche sur sa chatte. Je tire la langue pour garder le contact, titiller au moins son clitoris. Ses genoux fléchissent. Sa vulve enveloppe ma main. Une onde tiède emprisonne mes doigts. Une vague de spasmes les englue de moiteur douce.
    
    Mes doigts assagis restent nichés, attendant tendrement que les remous s’apaisent.
    
    Promenade au bois
    
    Je me suis sentie couler, dans tous les sens du terme. Cette fille me rend folle. Ses yeux noirs sont toujours dardés sur mon visage. Ils ont observé attentivement tous les signes de la montée de l’orgasme, ils ont accompagné affectueusement son explosion, ils suivent patiemment son reflux.
    
    Mes genoux tremblent. S’il n’y avait ...
    ... ses doigts fichés dans mon con, je m’effondrerais sur Colette. Elle ne les retire qu’en étant certaine que j’ai retrouvé mes forces. Encore faut-il que j’assure mon équilibre d’une main sur sa tête. Elle sourit avec ravissement en me montrant sa propre main brillante de ma jouissance. Elle en est heureuse, elle en est gourmande, elle lèche son index avec une satisfaction coquine.
    
    J’en veux aussi ! Je me penche, elle me tend son majeur, je le suce comme une petite bite. Pour une fois, l’image ne me répugne pas. Cette fille pourrait me faire faire n’importe quoi, pourvu que je le partage avec elle.
    
    Quand chacun de ses doigts est bien propre, Colette ose me proposer de rendre le même service à ma chatte baveuse. Là, je refuse tout net !
    
    — Non, ma chérie, si tu me gougnottes encore, je vais repartir sur-le-champ, je t’assure.
    — Bon, ben, ça séchera en route, philosophe-t-elle. Tant que tu ne risques pas de t’irriter à nouveau…
    
    Ah oui, c’est vrai, le jean à mes chevilles, il faut que je le quitte… En espérant que tout se passera bien ensuite ! Je veux dire que nous ne risquions pas d’être accusées d’attentat à la pudeur. Je me résigne donc à faire comme elle le demande et je m’apprête à m’asseoir pour sortir mes pieds de ce satané instrument de torture.
    
    Mais que fait-elle ? La voilà qui baisse son short. J’en reste interdite. D’accord, ça me donne l’occasion d’apprendre qu’elle a pris du plaisir à me masturber. Les fils qui s’étirent en scintillant dans les derniers ...
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