1. Chemin faisant


    Datte: 10/08/2023, Catégories: ff, forêt, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... c’est apaisant, c’est excitant. Un bonheur !
    
    Balade en forêt
    
    J’aime bien les gamineries de Chantal. Je la taquine là-dessus, mais j’adore quand elle joue les godiches. Et ses rondeurs de femme faite me font mouiller.
    
    J’ai dit femme faite, note bien, et pas femme mûre. Combien d’années de différence entre nous ? Une dizaine, peut-être, guère plus, guère moins. Ce n’est pas dramatique !
    
    Nous pouvons faire un bout de chemin ensemble, me dis-je, tandis que nous descendons le chemin, justement. Je sais qu’elle regarde rouler mes fesses sous le short que j’ai exagérément remonté pour qu’il les moule encore mieux. Ça brûle un peu à cause des conséquences de sa fessée, mais ça m’excite de savoir qu’elle m’observe, qu’elle les observe. Je marche vite, d’abord parce qu’il est tard, ensuite parce qu’ainsi mon cul bouge encore plus.
    
    Je suis trop pressée, sans doute. Je la distance sans le vouloir. Je m’en inquiète. Dans notre randonnée, de sa clairière au point d’eau, à la citerne plutôt, elle était plus vive. Ce n’est pas à cause du sac, apparemment. Au reste, il ne pèse pas bien lourd. Si c’est à cause du jean, elle ne pourra pas dire que je ne l’avais pas avertie.
    
    Et voilà ! Elle est obligée de s’arrêter. Je l’attends. D’après la carte, en tout cas si je ne me trompe pas, nous ne devrions pas être très loin de la route, et donc de ma voiture. Quand je l’ai garée, j’avais remarqué ce chemin d’incendie interdit à la circulation, mais j’ai préféré prendre le sentier ...
    ... qui partait vers les pinèdes. J’ai bien fait d’ailleurs, sinon je n’aurais jamais rencontré Chantal !
    
    C’est bien la couture qui la gêne. Elle le reconnaît enfin, mais voudrait continuer plus lentement. Il ne faudrait pas trop traîner, quand même. Si on fait une pause tout les vingt mètres, on n’est pas encore arrivé. J’insiste pour qu’elle quitte son jean. Je lui promets même de me mettre devant elle si par hasard on croisait quelqu’un. Promis, je le ferai si c’est un homme. Si c’est une femme, je crois que je n’hésiterais pas à la laisser en vedette…
    
    Je me dépêche de la déculotter dès qu’elle a accepté ma proposition. De peur qu’elle ne revienne sur sa décision, et pour le plaisir de revoir sa foune. De la revoir et de la sentir. Déjà que notre toilette intime de tout à l’heure était plus que sommaire, la transpiration et l’irritation ont ravivé les fragrances issues de nos ébats. Je n’y résiste pas !
    
    C’est plus obscène qu’érotique, je suppose, comme scène : moi, accroupie, en train d’écarter sa chatte ; elle, le jean aux chevilles avec le soutien-gorge comme seul ornement. Je m’en fiche. J’ouvre tout large sa fente et je la lèche.
    
    C’est âcre et c’est doux. Ça sent la sueur et la mouille. L’intérieur de ses lèvres me barbouille la bouche. Ma langue glisse dans une onctuosité suave. C’est délicieux !
    
    J’observe d’en bas le visage de ma chérie. Je veux atténuer sa peine, pas en rajouter. Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, elle sourit aux anges. Les mains ...
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