1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... quand d’autres femmes ont été les maîtresses de Philippe, comme ce fut le cas de Christine et, encore plus de celles qui ont cherché à me le prendre, comme Marie C, Flavienne et, actuellement, Théodora. En ce qui me concerne, la fidélité est impossible à demander à l’hypersexuelle que je suis. C’est parce que Philippe est candauliste que notre couple a toujours tenu.
    
    Nous avons finalement été contraints de quitter cet immeuble pour une villa où nous étions plus à nos aises pour notre vie intime, même si je gardais la nostalgie de l’immeuble qui avait vu la transformation de ma vie de femme. Je ne pouvais par exemple pas prendre l’ascenseur sans me rappeler ce qui s’y était passé lors de ma première rencontre avec Rachid.
    
    Rachid est allé plus loin que de m’offrir aux autres mâles de notre ancien domicile. Très rapidement après que je sois devenue sa «femelle» et qu’il se soit installé chez nous, il me demanda de m’habiller particulièrement sexy, m’annonçant qu’il m’amenait à sa cité. J’avais compris qu’il voulait m’exhiber mais surtout m’offrir à ses potes.
    
    J’avais choisi de porter une jupe très courte, un débardeur très décolleté, des talons aiguilles. Je m’étais maquillée outrageusement, insistant sur le khôl autour des yeux et le rouge pour mettre en valeur ma bouche et mes lèvres.
    
    • Ca te plait, Rachid ?
    
    • Tu es parfaite, on croirait une professionnelle !
    
    • J’en suis une désormais. Gratuite, mais je suis devenue ta pute, mon chéri
    
    • Tu me fais ...
    ... bander, Olga. Mais je patienterai jusque ce soir, car des mâles t’attendent avec impatience.
    
    • Comme tu me l’as demandé, je porte mon alliance.
    
    • Parfait, ça les excite particulièrement de baiser l’épouse d’un notable.
    
    Toujours soucieux de m’exhiber, Rachid avait insisté pour que nous allions à la cité en bus. Je voyais aux regards de désir de certains mâles ou de réprobation des autres que je ne passais pas inaperçue. Rachid ne se privait pas de poser une main sur mes fesses, en signe
    
    Arrivés à la cité, la difficulté pour moi fut de marcher, bien que Rachid me tienne par le bras. Il prenait tout son temps. De temps en temps, il me prenait par l’épaule, puis sa main se posait sur mes fesses. Il s’arrêtait régulièrement, me serrait dans ses bras et nous échangions de longs et fougueux baisers. Je sentais contre moi son désir, et de mon côté, mes tétons étaient durs, signe de mon désir d’être baisée. Rachid me l’aurait demandé, je me serais offerte à lui ici, en public, en pleine rue.
    
    • Rachid, je t’aime. Je ferai tout ce que tu veux. Tu seras fier de moi, je ne te décevrai pas. Je suis prête à baiser avec tous ceux à qui tu voudras bien m’offrir. Merci chéri de m’offrir tant de plaisir.
    
    • Tu ne seras pas déçue non plus, Olga, je veux t’offrir tout le plaisir que ton corps réclame.
    
    • Ils seront combien aujourd’hui ?
    
    • J’ai dû établir des listes d’attente. Nous reviendrons ici chaque semaine et tu en as pour des semaines. Je ne veux pas simplement te faire ...
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