1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... faut que je lui explique que les femmes ont aussi un cul et qu’elles aiment se faire mettre par là aussi. Je mouille mon anus avec ma cyprine, il y rajoute de sa salive avant de venir sur moi. Là encore je lui demande d’aller très doucement, un cul n’est pas ouvert et humide comme un con. Il entre très lentement, même trop lentement à mon goût. Il me la met au fond sans que je le lui demande: il m’a fait jouir plusieurs fois. Soudain il accélère son rythme pour lâcher son sperme. Je sens sa pine qui grossir à chaque giclée.
    
    J’aurai aimé avoir un peu de sa liqueur dans ma bouche. Je le ferais tout à l’heure.
    
    Il est tard, il faut qu’il rentre chez lui, il me quitte en m’embrassant sur la bouche. Il revint le lendemain.
    
    Il m’embrasse encore. Il me met sa main directement sur mon sexe, avec un doigt sur le clitoris. Il commence à me branler, le petit saligaud. Je le laisse faire. Il m’a donné encore envie de jouir, je m’abandonne à ses caresses d’autant que connaissant les lieux il m’emmène dans la chambre. Il veut me baiser encore une fois. Je refuse, je le veux dans ma bouche. Je décalotte son gland avec mes lèvres, je le lèche encore sans le prendre dans la bouche, je commence par ses couilles velues, en mettant toujours un doigt dans son cul. Enfin mes lèvres entourent son membre. Je fais aller et venir très lentement ma bouche sur sa bite. Je sens qu’elle enfle de plus en plus. J’accélère pour qu’il jouisse vite. Je reçois toi ou quatre jets magnifiques de spermes ...
    ... dans la bouche. Je reste suspendue à sa queue un bon moment pour ne rien perdre de sa semence. Je me relève et devant lui lentement j’avale son liquide qui ne l’est pas tant que ça. Je lui trouve un goût eu peu amer.
    
    Il n’est pas en bonne forme pour me baiser. Je lui montre comment je me branle, je commence par écarter les lèvres pour faire ressortir le clitoris de sa protection. Je mouille trois doigts de la main droite avec de la salive et les passe sans arrêt sur le haut du clitoris. Je jouis une première fois. Je fais suivre immédiatement après trois doigts, jamais moins, dans le vagin, je me baise carrément. Enfin je me sodomise un peu, juste le temps d’une jouissance avec toujours ces mêmes trois doigts. Je le regarde depuis que j’ai commencé, sa bite bande petit à petit.
    
    Elle est assez grosse maintenant : il vient sur moi pour une dernière baise. Il a bien compris les leçons de ce matin. Il me fait encore jouir avant lui pour enfin décharger sa dose.
    
    Il va sans dire que tout ce manège n’a pas plu à tout le monde dans l’immeuble. Mes frasques ont même été à l’origine d’un divorce, ce que je regrette bien entendu, même si aujourd’hui je partage l’opinion qu’avait exprimé Philippe lors de notre mariage au sujet de la fidélité. Le véritable amour n’est pas dans la fidélité, mais dans la liberté assumée de chacun, dès lors que les relations ne sont pas dissimulées et que la franchise est la règle. Je sais que ce n’est pas facile et moi-même j’ai toujours eu du mal ...
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