1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?


    Datte: 12/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... se devait l’épouse d’un des notables de la ville, que leur avait offerte leur pote Rachid.
    
    C’est à ce moment-là que je reçus des autres qui se branlaient près de moi une douche de sperme. J’en reçus sur le visage, les cheveux, les seins. Parmi ceux qui m’honoraient ainsi, il y avait Rachid, mais aussi mon mari Philippe, qui me tenait la main et me disait des mots d’amour.
    
    Dans ma tête, plein de choses se bousculaient. Je me disais que ces jeunes allaient me baiser plusieurs fois encore et qu’il allait me transformer en chiffe molle, sans tonus et énergie.
    
    J’espérais être à la hauteur de leurs désirs. Jamais je n’avais poussé jusque-là mon hypersexualité. Il me restait encore beaucoup de chemin à parcourir.
    
    • Tu es fatiguée ? Tu n’en as pas encore fini avec eux, ils vont t’épuiser, me dit Rachid.
    
    Un nouveau mâle me prit par les hanches, me força à me mettre à quatre patte sur le matelas et entreprit de me tirer en levrette. J’étais morte de fatigue. Je me disais que je n’allais rien ressentir et surtout, que je n’allais lui donner aucun plaisir. Mais au bout de quelques secondes, au moment où le gourdin pénétra dans ma chatte et que sentis les bras puissants de l’homme tirer sur mes hanches pour une pénétration à la hussarde, l’excitation et le désir revinrent en trombe. J’eus un autre orgasme aussi puissant que les précédents
    
    Quand nous quittâmes ...
    ... cette cave, tard dans l’après-midi, avec la promesse que je reviendrais chaque semaine, j’étais sur les genoux. Mais tellement heureuse.
    
    Je n’avais plus la force de prendre une douche, pour effacer la trace de mes ébats. Je commençais par rejoindre Philippe dans son lit.
    
    • Tu ne dors pas encore ?
    
    • Non, je t’attendais ! C’était merveilleux mon Olga. Tu as pris beaucoup de plaisir, tu as beaucoup joui. Tu me rends heureux, ma chéri
    
    • On en parlera demain mon chéri, je suis fourbue ! Je ne tiens plus debout !
    
    • Je veux tout savoir sur les sensations que tu as eues, sur les capacités sexuelles de tes amants. Tu es encore pleine du sperme de tes amants ! Montre à ton cocu de mari les traces de ton bonheur !
    
    Les paroles de Philippe avaient sur moi un effet très fortement aphrodisiaque. Philippe me lécha la chatte et l’anus et avala toutes les sécrétions qui y étaient restées. Mais c’est à Rachid, mon homme, que je m’offrais une dernière fois, et bien entendu devant mon mari, car je savais combien il adorait ça. . Même morte de fatigue, je ne pus résister au désir de subir ses assauts. Et cette nuit-là encore, Rachid se comporta en amant vraiment à la hauteur. Je n’eus aucun besoin de simuler l’énorme jouissance qu’il m’avait procurée, en me tirant comme un taureau !
    
    Et pourtant Rachid allait encore me faire aller plus loin dans mon hypersexualité. 
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