Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?
Datte: 12/09/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
Marie avait cru arriver à ses fins, mais avait échoué. Certes, elle avait passé une nuit d’amour avec Philippe et ce, en ma présence, partagée entre douleur d’assister impuissante à l’adultère de Philippe et l’excitation de l’érotisme torride de leurs ébats.
Mais au matin, la dominatrice qui rêvait de m’arracher mon mari candauliste subit un échec humiliant. Philippe lui affirma qu’il avait passé une nuit exceptionnelle, mais que c’était moi et personne d’autre qu’il aimait. Je savais que j’aurais à payer le prix de cet échec, puisqu’elle avait annoncé que Jean et Christine avaient mis à sa disposition le « château », la maison de campagne où j’avais connu ma première partouze SM (voir récit 16). Malgré les demandes insistantes de Philippe, j’en avais accepté le principe. Je ressentais le besoin d’être punie. Marie avait compris que j’aimais ça et que les pratiques les plus extrêmes ne me faisaient pas peur, au contraire.
En attendant ce moment, Marie essaya une autre tactique. Elle voulait pousser Philippe à s’éloigner de moi en organisant, avec Rachid, des séances de débauche où je n’aurai plus aucune limite. Qu’ainsi, pour éviter que sa réputation ne soit définitivement ruinée, qu’il se décide à me quitter. Dès lors, elle était certaine de le récupérer.
Marie avait, là également, compris que mon hypersexualité n’avait aucune limite et que voir se succéder un nombre toujours plus grand d’hommes entre mes cuisses ne me faisait pas peur. Ils étaient bien loin les ...
... scrupules que j’avais encore quelques mois auparavant, avant de devenir la femelle de Rachid. J’étais devenue insatiable, folle de mon corps. Des récits que j’ai pu lire à ce sujet, il n’y avait guère que l’impératrice romaine Messaline qui avait été plus « salope » que moi.
Là où Marie se trompait, c’était au sujet de Philippe. D’une part, sa réputation était depuis un moment ruinée. Notre couple était un objet de scandale. Philippe était « le cocu, le pédé ». Moi j’étais « la salope, la catin » Et surtout Marie n’avait pas mesuré que le candaulisme de Philippe était lui aussi sans limites, et donc que l’idée de voir de nombreux mâles me passer dessus l’excitait énormément.
Vous vous souvenez que, peu après le début de notre relation, Rachid avait commencé par m’offrir à d’autres hommes. Le premier fut le concierge Georges, qui se vengea ainsi de mon comportement deux ans auparavant, quand je l’avais à tort accusé de viol. Georges avait aussi été récompensé, car c’est lui qui avait fait en sorte que mon chemin croise celui de Rachid. C’était son triomphe et un vrai coup de génie, car la bourgeoise hautaine qui le méprisait était devenue la dernière des salopes, une putain gratuite à la disposition d’un petit caid du quartier chaud de la ville.
Georges passait m’honorer quand l’envie lui prenait ou quand Rachid l’appelait, en lui disant qu’il était épuisé et que je n’en avais « jamais assez ». Comme je détestais ce sale type, j’espérais qu’il ait vite fait son affaire ...