Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (20) : aucune limite à l’hypersexualité et au candaulisme ?
Datte: 12/09/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... et j’avais honte de moi quand, malgré moi, je prenais mon pied sous ses assauts brutaux.
J’étais devenue pour Rachid et ceux à qui il m’offrait un vide-couilles, mais je le l’acceptais pour au moins trois raisons. Premièrement, cela répondait à mon incroyable libido, qui fait que je suis capable d’enchaîner les orgasmes. Deuxièmement, je connaissais ma récompense, je savais que je me ferai prendre par Rachid. Son endurance et sa bite d’étalon faisaient de lui le mâle qu’il me fallait. J’ai connu depuis les débuts de ma vie sexuelle des milliers d’amants, Rachid fait partie de ceux que je n’oublierai jamais, avec Gianni, l’homme qui m’a dépucelée, Pedro et Joao, mes amants de Rio, Hassan qui fut mon mâle après Rachid et, plus récemment N.
J’ai été amoureuse de Rachid et de Hassan, comme je le suis aujourd’hui de N. Notre couple avec Philippe traverse actuellement des turbulences (mais il en a déjà surmonté beaucoup) d’autant que Philippe est lui aussi tombé amoureux d’une autre femme, cette petite garce de Théodora. Mais ceci est une autre histoire dont je parlerai ultérieurement.
Et la troisième raison de mon acceptation était que Philippe avait donné son aval, mais qu’en plus il adorait ça. Quand il rentrait de son travail, il me demandait de lui raconter ma journée, sans omettre le moindre détail et je voyais qu’il était excité en imaginant le plaisir que j’avais pu prendre. Et il était encore plus heureux quand il pouvait être présent. Il encourageait mon amant ...
... du moment, lui disait combien j’étais belle, qu’il ne devait pas se gêner et surtout me faire bien jouir. Philippe aimait et aime toujours me donner des consignes, m’intimant de faire une fellation à mon amant du moment, lui disant « vous verrez, personne ne taille mieux une pipe que mon épouse ».
Le moment qu’il préfère est naturellement celui où je me fais prendre. Il demande à mon amant quelle position il souhaite, en lui conseillant de me « baiser en levrette, car c’est celle qui la fait le plus jouir ».
Pendant que l’amant me baise, que ses couilles tapent sur mes fesses, mes gémissements se transforment en cris de plaisir, mon Philippe me prend la main, m’embrasse, me dit des mots d’amour.
Le macho qui me pilonne, plein de mépris pour ce couple qu’il ne comprend pas, nous couvre souvent d’injures. Mais peu nous importe, Philippe et moi sommes tout entier dans notre plaisir, moi de m’envoyer en l’air, lui d’être le complice et le témoin de mon plaisir.
• Qu’elle est bonne cette salope. Prends-ça, petite pute ! Tu aimes ?
• Oui, salaud, pilonne-moi, mets la bien au fond. Comme ça, plus fort. Ouiii ! Philippe, mon chéri, je t’aime, merci d’avoir voulu tout ça
• Et toi, cocu, comment tu peux aimer voir ta femme se faire sauter sous tes yeux ? Faut pas être un homme pour vouloir ça !
• C’est tout simplement la preuve d’un amour sans limites. Eprouver le plaisir de voir la femme qu’on aime jouir et être heureuse. Ne vous en plaignez pas et ne nous jugez ...