Un jeune homme à la capitale (6)
Datte: 19/07/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: JHaParis, Source: Xstory
... vêtement.
Je l’enfilai. Il était un peu juste et me moulait un peu trop. Mr Ruppert s’approcha.
— Faites voir... Ha c’est un peu juste, dit-il en tirant sur la ceinture.
— tournez-vous. Oui, il vous faut la taille au-dessus.
Il en avait profité pour promener ses mains sur mes fesses dans un geste qui pouvait difficilement passer pour de l’essayage.
J’ôtai le pantalon et il m’en donna un autre en n’oubliant pas de se rincer de nouveau l’œil. La bosse de mon slip semblait d’un grand intérêt pour lui.
J‘enfilai le nouveau pantalon. Il était déjà beaucoup plus à ma taille.
— Parfait, s’écria Mr Ruppert, celui-ci vous va comme un gant. Du sur-mesure. Jeune homme, vous pourriez être mannequin.
Il tirait sur la ceinture, défroissait le vêtement sur mes cuisses, ses mains glissaient sur mes fesses.
— Vous voyez, j’ai l’œil. J’aurais pu être tailleur, tournez-vous. Très bien, parfait.
Son élocution était maintenant un peu haletante et il avait pris des couleurs. Comme par hasard, sa main se posa sur mon sexe. Je m’y attendais tellement que je pivotai en lui demandant d’un air ingénu.
— Et la veste ?
— Pardon ? Il semblait sur une autre planète.
— La veste, je ne l’essaie pas ?
— Ah oui, la veste, Bien sûr, la veste. Où avais-je la tête ? Mais, jeune ...
... homme, vous me faites perdre la tête. Non, je plaisante...
Il me tendit une veste de travail qui elle m’allait très bien du premier coup.
— Parfait, les chaussures maintenant. Votre pointure ? 44. En voici. Elles vous vont. Pas de points de compression ? C’est important, la première semaine vous ferez un travail posté, c’est-à-dire, debout.
C’est dit ? Elles sont à votre taille ? Bien alors, retirez-moi tout cela. Pour visiter nos locaux, il vaut mieux être en tenue civile. Car je vais tout vous montrer. Votre stage est un stage ouvrier certes. Mais vous n’êtes pas tenu de rester dans l’atelier.
J’étais de nouveau en slip et son débit s’accélérait.
— Vous pouvez évoluer vers d’autres tâches. Moins pénibles. Et même expérimenter le travail de garçon de bureau. C’est moins bruyant. Enfin ça dépend de vous. Et de moi. Donnez-moi ces vêtements.
Il était de nouveau proche de moi, et en se saisissant des vêtements de travail que je lui tendais, il s’approcha encore. Une de ses mains se trouva par mégarde à frôler mon sexe en une furtive caresse. Je me détournai pour me saisir de mon pantalon tandis qu’il continuait son babillage.
— Enfin, ça dépend de nous deux. Vous êtes un garçon intelligent. Mais, pas de plans sur la comète, voyons déjà votre nouvelle entreprise...