Morgan (7) - Histoires de Sexe

Morgan (7)

... toi.

— Non ! S’il vous plaît, pas ça. Dans mon cul ! Défoncez-moi le trou du cul ! crié-je en désespoir de cause.

Sans attendre, son gland force le passage, j’ai beau avoir l’habitude, la douleur au niveau de mes sphincters n’est pas une sinécure. Heureusement, elle est brève. À peine son pubis se colle-t-il à mes fesses, qu’il se lance dans une chevauchée de tous les diables. J’ai l’impression que mon intestin sort à chaque fois qu’il recule sa bite.

— Tu aimes salope ?

— Oh oui ! Votre queue est géniale !

Mes épaules et ma joue frottent sur les poils de la moquette et commencent à me chauffer, c’est si agréable d’être impuissante, je veux que cela dure toujours. Mais bien vite, il change de méthode. Il ressort totalement son braquemart et l’enfonce dans mon trou qui commence à se refermer d’un seul coup jusqu’aux couilles. Mon cri de bête blessée n’est pas feint, je déguste comme jamais. J’ai maintenant les sphincters en lambeaux, je suis en larmes. Il se saisit de mes cheveux et me tire la tête en arrière.

— Et maintenant ? Tu aimes toujours autant ?

— Oui ! J’adore ça ! Enculez-moi plus fort !!

Oui, j’aime être traitée ainsi. Je suis folle, j’ai mal, mais j’en redemande. Julien se lève et me lance un « Je reviens ! » sinistre qui n’annonce rien de bon pour mon cul. J’attends son retour, frémissante, une sueur poisseuse recouvre mon corps. La moquette absorbe mes larmes qui se tarissent. Mes genoux, mes épaules et mes poignets emprisonnés me font ...

... souffrir le martyre, mais je ne veux pas décevoir mon Maître, je me refuse donc à bouger pour soulager mes douleurs.

Quand Julien réapparaît, il arrose ma pastille brune, presque refermée maintenant, de lubrifiant. J’émets un gémissement dépité.

— Vaut mieux que je facilite le passage, parce qu’avec ce que je vais te mettre, tu vas bien déguster.

Une petite voix dans ma tête me hurle d’arrêter tout ça, mais la chienne lubrique qui a pris les commandes de mon corps ignore la supplique et me fait cambrer les reins un peu plus en guise de réponse. Il enfonce un, puis deux, puis trois doigts dans mon trou du cul. Il les fait bien tourner pour rouvrir le chemin. C’est à ce moment que je comprends ses intentions. Je me crispe légèrement. Je reçois une claque sur la fesse en représailles. Quatre doigts fouraillent mon fondement maintenant. Je gémis de plaisir, de douleur et de peur. Je vais être punie pour mon intrépidité.

Ses cinq doigts forment une petite pyramide qu’il fait tourner de droite et de gauche pour bien forer mon trou du cul. Cette sensation nouvelle est extraordinaire. Douloureuse, mais extraordinaire. Je couine de plaisir tout en pleurant de douleur. De la morve coule directement dans ma bouche ouverte. Mes « Oh ! Putain ! » accompagnent maintenant mes grognements de truie à mesure que la partie la plus large de sa main s’approche. Même la chienne lubrique vacille, elle n’est plus certaine de vouloir subir cela. Il me faut puiser dans mes dernières gouttes ...