Morgan (7)
Datte: 23/06/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Morgan-D, Source: Xstory
Cela fait maintenant deux mois que je travaille pour Julien et cela fait un bien fou d’avoir enfin une activité professionnelle. Si la paie n’est pas mirobolante, elle est tout de même supérieure à mes indemnités chômage et nous permet de mieux nous en sortir avec Maxence.
***
Aujourd’hui, nous avons rendez-vous chez un couple de futurs mariés. Ils veulent un voyage de noces au Sénégal. Julien leur propose plusieurs formules qui vont du farniente intégral à l’aventure. S’ils sont d’accord avec tous ces programmes, ils n’ont pas l’air très emballés non plus et ne choisissent rien de spécifique. Il leur explique qu’il faut qu’ils lui confient leurs envies pour qu’il puisse y coller au mieux. Mais ils ne se livrent pas, et restent évasifs. J’essaye de trouver un indice dans leur environnement, mais il n’y a rien : pas de livres, pas de cadres, pas de plantes, un mobilier réduit au strict nécessaire. Aucune fantaisie, un véritable appartement-témoin. Ils n’ont l’air d’avoir aucune attache, ils pourraient partir demain, ça ne ferait aucune différence. Et c’est peut-être ça l’indice manquant.
— Voulez-vous aller là-bas pour repérer ou vous installer ? Vous voulez y habiter, c’est cela ?
Ma question prend tout le monde de court. Mais j’ai vu juste. Ils s’ouvrent lentement et parlent de leur futur projet avec appréhension, Julien note et promet de prendre rendez-vous avec eux très rapidement.
Dans l’ascenseur, il me félicite par la mise en marche inopinée de l’œuf ...
... vibrant logé au fond de mon vagin. Il s’amuse avec son smartphone pour moduler la vitesse. Je frissonne de tout mon corps et ne peux m’empêcher de gémir à ces sollicitations. Nous sortons de l’immeuble, il baisse les vibrations au minimum et range son portable. C’est très supportable, ça ne me gêne aucunement pour déambuler dans les rues de Paris et cela maintient en alerte mon excitation.
Le wagon du métro est pratiquement vide, je m’assois en face d’un homme mûr, s’il ne semble pas être encore soixantenaire, il s’en approche. En m’installant, je le bouscule un peu, je m’excuse auprès de lui d’une voix chaude. Il m’assure que ce n’est rien et replonge dans son journal. Je relève légèrement ma jupe pour montrer les jarretelles et je fais crisser mes ongles sur mes bas. Attiré par ce bruit persistant, il interrompt sa lecture et regarde, fasciné, le spectacle que je lui offre. J’écarte mes cuisses, remonte un peu plus ma jupe, ma peau nue s’exhibe, mais mon trésor intime reste caché. J’ouvre un puis deux boutons de mon chemisier. Son journal n’a plus aucun intérêt, ses yeux ne peuvent se détacher de l’échancrure de mon corsage, il est rouge de confusion, ses bajoues tremblent d’excitation. Arrive la station où je dois descendre, je me penche, lui dévoilant au passage mon absence de soutien-gorge, et lui murmure un « Dommage. »
Je me lève prestement et quitte le wagon sans un regard en arrière. À une distance raisonnable, Julien a filmé toute la scène.
***
Ça doit être ...