L'amour doit ressembler à cela
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
soubrette,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
portrait,
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
... commerce avec aucune des donzelles que j’honorais régulièrement. La camériste de Madame se moqua, m’accusant d’être en amour pour les vieilles aristocrates. Quant à la cuisinière, qui était plus proche de l’âge de Madame, elle avait redoublé d’attentions pour moi depuis que je lui avais révélé, des semaines auparavant, autre chose que la rudesse potagère de son mari. Elle en voulait, semblait-il, davantage.
Je ne disais rien, je ne faisais rien et cela semblait exciter beaucoup ces deux femmes. Plus que mes avances libertines.
Le comte revint de Nevers et annonça une prochaine grande soirée. Les invités seraient plus nombreux que de coutume et l’on écouterait notre auteur et l’actrice lire des vers libertins du siècle précédent.
Ensuite monsieur me prit à part
— Quentin, vous serez avec nous. Vous avez pu remarquer que ces messieurs peinent à honorer convenablement les dames. Les bandaisons sont flasques, les bourses se vident vite. Trop souvent les femmes doivent user entre elles de priapes de buis ou d’ivoire pour atteindre au plaisir qu’elles méritent. Soyez là pour elles, Quentin, ne regardez pas au physique, bandez et chevauchez, les hommes sont mieux disposés lorsque leurs femmes jouissent et j’ai avec eux des affaires délicates en cours.
Ainsi donc, Monsieur m’avertissait que j’aurais à fourbir des trous peu appétissants, et que ma flamberge devrait rester au garde-à-vous. Pour le garde-à-vous, j’avais la potion des grand-mères du pays, mais pour que ...
... les bourses ne s’épanchent pas sans crier gare, après plusieurs jours d’abstinence, il était urgent que je les essore.
Le retour du comte et les préparatifs de ripaille m’occupèrent toute la journée et à la nuit tombée, il me fallait commencer l’essorage et pas question de fourchette de Saint Carpion. La camériste heureuse de mon retour à la raison de Priape prit ma pine entre ses lèvres et avala la première gorgée de ma purge avant de s’en aller coucher.
Satisfait, mais encore bien plein, j’avais très faim. La cuisinière à ses affaires rangeait l’office et son diable de jardinier prêtait la main. J’ai soupé en la bichonnant du coin de l’œil, elle ne se pressait pas et me lançait aussi d’excitantes œillades, mais son porte-couilles ne s’éloignait pas.
Le jardinier empoigna un cruchon de vin pour finir mon souper, mais c’est lui qui but presque toute la chopine et il s’écroula sur la table en ronflant.
Je suis alors passé sous la jupe pour prendre un dessert entre les cuisses rondes de son épousée. L’huître ouverte bien juteuse, odorante acheva de regonfler ma pine que la cuisinière s’enfila goulûment entre les cuisses quelques instants plus tard. Elle s’offrit un plaisir plus bruyant que les ronflements de son homme.
J’avais vidé mes bourses par deux fois de belle manière, mais dans mon lit le sommeil ne venait pas, la pensée de la bouche de Madame sur mon vit, l’image de son corps lascif me revenait et me redonnaient vigueur et je sentais mes bourses encore ...