L'amour doit ressembler à cela
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
soubrette,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
portrait,
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
... plein de jeunesse. Je vous ferai venir au moment opportun, tenez-vous prêt.
Évidemment la demande ne souffrait pas d’hésitation. Je pris congé et en oubliais presque la course. La mission du lendemain était d’importance et ma place en jeu, à n’en pas douter.
Le jour suivant, je me préparais avec soin, lavant méticuleusement cul et vit, ne sachant exactement à quoi ils allaient servir, et avalant une belle rasade d’un breuvage du pays qui avive la fermeté des hommes afin qu’ils satisfassent les dames les plus froides.
Ainsi, lorsque les premiers invités se présentèrent, j’étais déjà presque roide dans mes hauts-de-chausses.
Le premier couple que je fis pénétrer dans le grand salon fut un comte et une comtesse, gros homme et jeune femme à gorge généreuse. Le second couple fut un vieil auteur de tragédies et une actrice du théâtre français qui continuait à jouer les jeunes premières en dépit d’un âge avancé. Les invités avaient échangé moult méchancetés sur divers personnages en vue à la cour, lorsque les dernières convives se présentèrent, une veuve aux joues rondes et poudrées comme une miche de pain et sa jeune sœur légèrement fardée et délicatement parfumée.
Les collations furent servies et je commençai d’entendre des éclats de rire fuser derrière la porte.
La cuisinière apporta un plateau de gimblettes et lorsqu’elle sortit, elle m’annonça que le maître me mandait. J’entrais discrètement, personne ne fit attention à ma présence. L’auteur de théâtre ...
... était assis sur la table, culottes baissées et la veuve, devant lui, riait aux éclats en enfilant des gimblettes sur son petit membre mal bandé, ensuite, elle se penchait et croquait les biscuits fourrés au vit mollet.
Assis sur une méridienne, Madame branlait le gros brandon court et épais de l’adipeux comte avec un air distrait. Les fesses replètes de la jeune comtesse apparaissaient sous les robes de Madame qui, entre ses cuisses, avait des soubresauts réguliers.
Monsieur releva la tête d’entre les seins de l’actrice et s’avisa de ma présence. Laissant les mamelles, qui retombèrent lourdement, il releva la jupe de la jeune sœur de la veuve découvrant des cuisses d’albâtre au galbe élégant et ma lança :
— Quentin, cette jeune femme se languit, montrez-lui comment on élève nos étalons en Nivernais.
Je m’approchai et commençai à caresser les cuisses blanches du bout des doigts alors que monsieur replongeait dans les seins fripés de la tragédienne.
Sous les robes de la femme qu’il m’était demandé de satisfaire, rien ne couvrait l’abondante toison noire au milieu de laquelle mes doigts rencontrèrent une petite bouche humide étroite, serrée, telle que j’ai craint que mon gland roide ne la blesse en y pénétrant. La belle aux grands yeux sombres me regardait froidement tout en glissant la main dans mes grègues. Lorsque ses doigts découvrirent ma virilité, elle porta son regard vers le vit mollet que sa grosse sœur suçotait et elle esquissa un timide sourire de ...