L'amour doit ressembler à cela
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
soubrette,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
portrait,
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
... prêtes à verser quelques gouttes d’une liqueur dont il me fallait absolument me défaire.
Je me relevai et errai dans la maison endormie. Dans le couloir des chambres des petites servantes où le hasard porta mon pas, j’aperçus sous une porte la lumière vacillante d’une chandelle. J’ouvris délicatement la porte. Sur son lit, une petite campagnarde fraîchement arrivée dans la domesticité écrivait une lettre. Elle y mettait une telle application qu’elle ne m’entendit pas entrer. Sa chemise entrouverte laissait apercevoir une opulente poitrine. Lorsqu’elle se rendit compte de ma présence, ma main se glissait déjà dans sa chemise et s’emparait d’une mamelle chaude et douce. Elle protesta un peu, mais ne fit rien pour repousser ma caresse, était-ce l’obéissance due au majordome, ou l’attirance pour ma réputation, elle aussi ? La petite avoua dans un murmure être encore pucelle, mais elle souleva sa cotte dans un geste naïf et charmant et écarta les cuisses pour m’offrir timidement son jeune fruit vermeil. Ses cuisses avaient le goût et le parfum des filles de ma campagne, celles des premières gamahucheries, des premières feuilles de rose, des premières fornications maladroites. J’ai dégusté longuement ce fruit tendre avant de le pénétrer très délicatement pour ne pas la blesser, aussi pour faire durer cette union qui me rappelait cette époque pourtant proche, mais déjà si lointaine, des filles de ferme prises dans les odeurs d’étable et de fenaison. Lorsque la semence s’est ...
... annoncée, je suis sorti et j’ai oint ses tétons de mon foutre. Elle avait joui modestement, mais semblait heureuse de sentir ma semence sur elle, de la voir jaillir de ma pine pour elle.
Le sommeil enfin me prit et je m’endormis dans ses bras odorants pour les quelques heures qu’il restait de nuit. C’était nouveau, je baisais beaucoup, mais je finissais toujours les nuits seul dans mon lit.
Lorsque je m’éveillai au petit jour je vis deux grands yeux verts qui m’observaient et je sentis sous ma chemise la caresse fraîche d’une petite main.
— Je n’avais pas remarqué que tu avais les yeux verts, comment t’appelles-tu ?
— Zerbinette.
— Quel âge as-tu ?
— Dix-huit ans.
— Tu es une belle femme, Zerbinette.
Cela la fit sourire. Elle caressa son entrejambe et ajouta songeuse,
— Oui, une femme…
Zerbinette a posé sa tête sur ma poitrine et elle s’est agrippée à moi comme pour m’empêcher de partir, pour retenir cet instant du premier émoi qui s’éloignait déjà vers le monde des souvenirs. L’heure d’aller orchestrer la vie de la maisonnée avait sonné.
J’ai encore caressé les cheveux de Zerbinette en pensant à la journée à venir. Le soir, j’allais devoir faire jouir des femmes pour qui je ne serai qu’un godemichet humain. Elles jouiraient, mais m’ignoreraient complètement. Comme elles ignorent toute domesticité, loin de la tendresse naïve de Zerbinette.
À la cuisine j’ai mangé une soupe et du fromage puis je me suis laissé entraîner dans le tourbillon des préparatifs ...