L'amour doit ressembler à cela
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
soubrette,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
portrait,
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
On m’appelle Quentin Follavoine, je suis né en Nivernais en l’an de grâce 1753. Tôt orphelin, mon enfance s’est passée entre les travaux de la ferme et l’enseignement des sœurs du couvent. Solide et bien fait de ma personne, à l’âge quinze ans j’ai été placé comme valet de pied chez un comte et une comtesse. Satisfait de mes services et de ma discrétion lors de ses séjours à Nevers, le comte me prit quelques années plus tard à son service en son hôtel parisien. À vingt-quatre ans, je devenais le majordome de Monsieur et me pavanais dans les rues de Paris comme un hobereau conquérant.
Notre maître avait l’habitude de réunir une fois par mois une société de nobles messieurs et de nobles dames pour deviser des affaires du monde et de la cour, mais surtout pour s’adonner à des colloques libertins dont la musique me parvenait derrière les huis et dont les débordements donnaient beaucoup de travail à la domesticité.
J’étais moi-même gourmand du plaisir de chair et parmi les hôtels alentour mon brandon vigoureux avait fort bonne réputation chez les cuisinières, les caméristes, les chambrières et pas seulement chez les servantes… Mais cette réputation n’était pas parvenue à la connaissance de mes maîtres.
Un bel été, la camériste de Madame, sans doute enseignée par une commère du voisinage, me fit comprendre qu’elle aussi goûterait volontiers ma virilité, en laissant traîner deux doigts sur mes hauts-de-chausses à l’endroit du membre priapique. Nous étions dans un réduit ...
... discret, je lui rendais alors la politesse de son salut en glissant la main dans son corsage. La vie de camériste et de majordome ne laissant que peu de loisir de batifoler, il fallait faire vite. Elle se retourna prestement en relevant ses robes bien au-dessus de son large cul et se pencha sur la tablette pour faciliter mon passage vers le cœur chaud et humide de son désir. Sans hésiter, j’ai gaillardement investi la donzelle et limé de belle façon le con offert déjà rompu aux rudes chevauchées. Je lui fis si bien son affaire qu’elle poussa des cris, étouffésin extremis, et lorsque, satisfait, je sortis de la camériste mon dard encore bien droit, j’aperçus monsieur le comte qui nous observait avec un petit sourire. Le temps de redonner à ma tenue un tour présentable, il avait disparu. La jeune camériste ne s’était rendu compte de rien.
Je m’étais toujours abstenu de tel débordement en l’hôtel de mes maîtres et je craignais, en dépit de leurs mœurs libertines, avoir commis un impair. Mais le comte n’en souffla mot.
Le lendemain cependant, veille de la traditionnelle fête galante, Monsieur me manda pour quelque affaire de moindre importance. Alors que je m’apprêtais à diligenter la course qu’il m’ordonnait, il ajouta :
— Vous avez fait montre d’une belle vigueur hier, Quentin. Je ne vous savais pas aussi adroit dans le maniement du vit, les cris de la petite plaident en votre faveur. Je reçois demain quelques dames qui goûteraient volontiers cet appendice vigoureux et ...