1. L'amour doit ressembler à cela


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, soubrette, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe portrait, Auteur: Igitur, Source: Revebebe

    ... m’attendait dans une robe de chambre de soierie verte, allongée sur son lit, appuyée contre deux épais oreillers, la joue calée dans la paume de sa main, les jambes légèrement repliées sur le côté. La pression de ses genoux entrebâillait les pans de la robe de chambre et, dans la pénombre, la lueur des chandelles posées sur la table au pied du lit illuminait d’or ses cuisses blanches. Elle était nue sous la soie et me regardait approcher, silencieuse, souriante. J’avançais lentement, ne sachant que faire. Malgré la situation je restais serviteur. J’attendais un ordre de ma maîtresse.
    
    Elle murmura seulement :
    
    — Approche.
    
    J’avançai jusqu’au divan. Bien que madame la comtesse eut deux fois mon âge, je la trouvais belle et attirante comme la déesse du maître italien, Botticelli, qui ornait la cheminée de Monsieur à Nevers. J’étais en rut.
    
    La main de Madame caressa mon vit qui dressait mon haut-de-chausses comme une tente sarrasine. Elle faisait aller et venir ses doigts avec une délicatesse à laquelle les rudes cuisinières et les caméristes toujours pressées ne m’avaient pas habitué
    
    J’aimais cette caresse légère comme un vent tiède de printemps sur toute la longueur du membre plus que les fermes pignolades du gland.
    
    — Ôte ces chausses, mais garde ta chemise, ordonna la comtesse dans un soupir
    
    Lorsque ma verge se dressa devant elle dans la lumière vacillante des chandelles, elle reprit sa caresse légère. Le bout de ses doigts allait et venait sur ma hampe, ...
    ... tournait autour de mon gland me portant en un état de désir inaccoutumé. Et pourtant je croyais tout connaître des unions de l’homme et de la femme, j’avais déjà fréquenté tant de connils différents, des jouvencelles aux maritornes, j’avais connu tant de mains sur mon vit, mais jamais le doigté si délicat d’une comtesse.
    
    Je fermai les yeux, je savourai la douceur de doigts de fée. La caresse se fit différente, plus enveloppante, plus chaude, Madame venait de me prendre en bouche, profondément. Je n’ouvrais pas les yeux, j’étais ailleurs, dans un monde où les majordomes baisent pour leur propre plaisir les comtesses aux mains de velours.
    
    Puis Madame réunit lèvres et mains dans une caresse de mon vit et de mes bourses de plus en plus vigoureuse et ferme. C’est ainsi que sans bouger, sans ouvrir les yeux, je déversai sur sa langue et dans sa gorge une bolée de mon foutre.
    
    Lorsqu’elle lâcha mon gland, toute ma semence avait disparu en elle.
    
    J’ai ouvert les yeux et nos regards se sont croisés. Elle avait à peine une lueur de satisfaction dans l’œil, loin derrière la froideur de son aristocratie.
    
    — Merci, Quentin, vous pouvez y aller, dit-elle sur le même noble ton que son époux.
    
    Je remontai mes chausses en hâte et m’éclipsai discrètement heureux, mais un peu déçu de n’avoir pas foutu entre ses cuisses ou ses fesses rondes et fermes. Elle restait étendue, comme je l’avais trouvée en entrant.
    
    Les jours qui suivirent, je restai sourd aux sollicitations et n’eus ...
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