1. L'amour doit ressembler à cela


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, soubrette, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe portrait, Auteur: Igitur, Source: Revebebe

    ... pouvez y aller Quentin.
    
    Je suis sorti aussi discrètement que j’étais venu. La jeune femme dans laquelle je m’étais répandu me regarda partir en caressant son sexe. En refermant la porte, je la vis porter à ses lèvres un doigt sur lequel luisaient quelques gouttes de ma semence.
    
    Dans la cuisine où m’attendait un souper, la cuisinière me harcela de questions. Enivré par ces libertinages, je ne consentis à quelques confidences que lorsqu’elle s’approcha de moi et me laissa sous sa longue jupe fouiller cul et con à pleine main. Je n’eus guère à insister. Je ne savais pas qu’elle fut entichée, elle aussi, de ma réputation. Mon breuvage priapique faisait merveille et après mon souper, je pus encore honorer hardiment la cuisinière pendant que dans sa chambre derrière l’office on entendait son jardinier de mari ronfler comme soufflet de forge.
    
    Les jours suivants, personne ne parla plus de cette soirée. Dans les recoins isolés, la camériste voulut goûter encore la raideur de ma verge et me laissa gamahucher et faire feuille de rose avec gourmandise. Le temps passa ainsi à tenir la maisonnée du comte, à honorer les anciles du quartier, ou leurs maîtresses, et à chevaucher les nobles dames que Monsieur me demandait de satisfaire durant ses soirées libertines.
    
    Un jour que la camériste téta mon vit et gloutonna ma semence, Madame lui fit devant moi reproche d’une petite tache sur son col, petite tache de foutre encore fraîche que Madame frotta de son index. Lorsque sa ...
    ... camériste s’en fut allée penaude, Madame huma le doigt et me manda près d’elle.
    
    — Petit salopiot, me dit-elle, c’est ton foutre qu’elle a siroté !
    
    Très étonné de ce soudain tutoiement, je ne pus que reconnaître le méfait, elle m’attira alors vers elle, de sorte que mon oreille touchait presque sa bouche et elle murmura :
    
    — Il n’y a donc qu’à votre maîtresse que vous le refusez. Demain, Monsieur part à Nevers, vous viendrez me rendre vos hommages dans mon boudoir, soyez à la hauteur de votre réputation. Madame de Clermont dit que les soupers, chez elle, ne sont jamais aussi goûteux que lorsque vous venez fréquenter sa cuisinière. Et lorsqu’elle dit « goûteux », on dirait bien qu’elle pense à autre chose qu’à son souper. Et elle plongea sa langue au fond de mon oreille avant de s’éclipser, me laissant les jambes flageolantes.
    
    J’étais un peu gêné après cette invitation en aidant Monsieur à préparer ses effets pour le voyage au pays. J’ai craint un moment qu’il ne m’invite à le suivre et me fasse rater le rendez-vous au boudoir ; à un autre moment, je l’ai espéré, mais il n’en fit rien.
    
    À la tombée du jour, la camériste me prévint que Madame voulait en son boudoir une chandelle supplémentaire et lorsque je passai devant elle pour obtempérer, elle caressa mon haut-de-chausses en murmurant
    
    — Celle-ci fera merveille
    
    Je continuai sans rien laisser paraître, mais, en entrant dans le boudoir, mon brandon raidissait et mes jambes flageolaient à nouveau.
    
    Madame ...
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