L'amour doit ressembler à cela
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
soubrette,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
portrait,
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
... vous savez que j’ai une affaire d’importance qui doit se conclure prochainement. En nous quittant hier soir, le duc et moi étions d’accord sur tous les termes. Votre intervention avait fait bel effet. Mais ce matin le duc a une nouvelle conditionsine qua non, votre départ de ma maison.
Je tombai des nues.
— Le duc aime que son épouse se fasse chevaucher par un autre sous ses yeux, à la seule condition que de retour à la maison, elle reconnaisse que personne ne la baise mieux que son seigneur. Or cette nuit vous fûtes plus vaillant que personne, a-t-elle déclaré. Par trois fois vous l’avez portée à jouir, chaque fois plus ardemment, si bien, si fort qu’elle ne put même pas mentir à son époux.
L’honneur du Duc est blessé. J’ai voulu prendre sur moi, plaider que vous n’étiez que l’exécuteur de ma volonté. D’ailleurs inspirée par le Duc lui-même, mais ce dernier déplore une autre dette d’honneur à votre endroit.
J’écarquillai les yeux, interdit.
— Vous vous souvenez certainement de la jeune femme que je vous fis chevaucher lors de la première soirée à laquelle je vous conviais ?
— Oui.
— Vous l’avez baisée de belle manière et sa satisfaction fut cause que le Duc demanda votre présence hier pour satisfaire son épouse. Cette femme et sa sœur sont en effet ses cousines et pour ainsi dire, son unique famille. Or en la baisant, vous ne vous êtes pas retiré et la voilà grosse. Elle ira à Nevers où personne ne la connaît jusqu’à la naissance et l’enfant sera remis ...
... aux sœurs du couvent. J’ai promis d’y remédier. Cependant le duc ne consentira à notre affaire que si vous disparaissez de ma maison.
J’étais blême, sans voix.
— Je vous donnerai des lettres de recommandation et un pécule. Vous avez deux jours pour prendre vos dispositions.
J’imaginais déjà me présenter chez Madame de Clermont pour y poursuivre cette vie de libertin à laquelle j’avais pris goût, chez une maîtresse aux cuisses généreuses et à la domesticité frivole. Je suis cependant remonté dans ma chambre comme un homme un peu ivre et j’ai emballé mes, cela ne représentait qu’un petit balluchon, effets avec tristesse et nostalgie. Puis je me suis écroulé sur le lit et j’ai dormi une paire d’heures d’un sommeil agité de rêves où les seins de Zerbinette dansaient autour de moi. En pleine nuit, je me suis éveillé angoissé après un rêve où je tombais dans un puits sans fond. J’ai tourné un peu en rond devant ma fenêtre, puis je suis monté à pas de loup dans la chambre de Zerbinette. La lueur de la chandelle filtrait sous la porte comme la première fois.
Lorsque je suis entré, elle écrivait avec la même attention qu’alors.
— À qui écris-tu, Zerbinette ?
Elle tourna son beau regard vert
— À personne, chaque soir je narre ma journée, pour moi-même
— Fais-moi une petite place dans ton lit.
Elle se poussa pour que je m’allonge. Inerte, je scrutais le plafond en laissant vagabonder mes pensées parmi mes souvenirs des derniers jours. Zerbinette ne posa pas de ...