L'amour doit ressembler à cela
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
soubrette,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
portrait,
Auteur: Igitur, Source: Revebebe
... plus recours à mes services et j’ai fini de pied devant les tentures du salon, aussi immobile que les statues qui marquaient les quatre points cardinaux dans ce grand salon.
Lorsque tout le monde s’en fut allé, je ne rejoignis pas ma chambre, mais me glissai dans le lit de Zerbinette, sans la réveiller et je m’endormis sans délai.
À mon réveil, elle était encore endormie. J’avais dû sommeiller deux heures tout au plus, je l’ai regardée dormir, dans la nuit un sein s’était échappé de sa chemise, il ondulait régulièrement avec la respiration de la jeune femme. Elle ouvrit les yeux et s’écria :
— Qu’est-ce que vous faites là ! et d’un geste prompt, elle couvrit son sein.
Puis elle se ressaisit, éclata de rire et jeta ses bras autour de mon cou avec un long « oh », plein de tendresse, d’étonnement et de bonheur.
L’amour doit ressembler à cela, pensai-je.
Nous nous sommes levés sans échanger quelque autre geste puis nous sommes allés chacun à nos activités et ne nous sommes plus revus de la journée. Une journée de vaisselle de lessive de rangement après les agapes de la veille.
Monsieur est descendu vers midi, l’air réjoui. Il a pris une bonne collation et a quitté la demeure seul. Madame n’a appelé qu’à quatorze heures pour que je lui monte une collation.
Lorsque je suis arrivé, elle était allongée sur son lit en chien de fusil, les draps repoussés à ses pieds, en plein soleil la percale de sa chemise ne cachait rien du galbe de ses cuisses, du tombé de ...
... ses seins lourds, des rondeurs de ses hanches, de l’abondance de sa toison.
J’ai posé le plateau sur la table et je me dirigeais vers la porte lorsqu’elle s’adressa à moi.
— Quentin, tu m’as beaucoup impressionnée hier. Je ne pouvais pas venir te voir devant mon époux. Tu comprends ? Viens maintenant, bouscule-moi comme les vieux pachydermes que mon époux invite ne le font plus. Viens, prends-moi, Monsieur n’en saura rien.
Le tutoiement, l’aveu d’un congrès à l’insu du comte me libérèrent de mes obligations de domestique. La femme m’excitait, la maîtresse ordonnait, pourquoi résister ? Je pris toutes initiatives à ce congrès jouant des mains et de la bouche à mon gré sur le corps de ma maîtresse offerte. J’obtins d’elle toutes les voluptés qu’une femme peut offrir à son amant, tous les abandons. Je la soumis à toutes les fantaisies de mes mains, de ma bouche, de mon sexe, une heure durant. Lorsque ma semence fut répandue sur son ventre, elle me congédia.
Je passai le reste de la journée l’esprit vide à tourner dans la maison et le jardin pour m’assurer de la bonne tenue de mille détails, parfois en travaillant je me rejouais quelques audaces que j’avais eues sur le corps de Madame et dont elle avait semblé jouir. À la tombée du jour, Monsieur revint l’air sombre. Il partit s’enfermer dans son bureau et y fit mander Madame.
Comment aurait-il pu savoir pour Madame et moi ?
Ils restèrent ainsi seuls jusqu’au souper. Puis il me convoqua près de lui.
— Quentin, ...