1. L'amour doit ressembler à cela


    Datte: 09/09/2018, Catégories: fh, hagé, fagée, soubrette, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe portrait, Auteur: Igitur, Source: Revebebe

    ... main sur son épaule et le regarda avec des yeux pleins d’une passion théâtrale au moment où il commença sa lecture :
    
    À la fin de la lecture du premier sonnet, l’actrice fourra sa langue dans la bouche de l’auteur et sa main entre ses cuisses, puis elle se retourna vers l’assistance et mima l’admiration et le désir, avant de reprendre sa place pour la seconde lecture, avec un air de recueillement et de prière.
    
    Alors l’actrice se plaça devant le lecteur et écarta les cuisses largement en relevant ses jupes, découvrant sa toison parsemée pour la plus grande joie de l’assistance. Puis à nouveau elle reprit sa place. Avant de commencer la lecture, l’auteur la toisa avec un air sévère, elle baissa la tête penaude :
    
    Et la tragédienne se retourna, se baissa, leva ses jupes et montra cul et con à la foule ravie. Puis revint près du lecteur qui lui prit tendrement la main :
    
    Et la tragédienne enfourna vitement sa main dans le haut de chausse du vieil écrivain, la secoua frénétiquement puis la ressortit et passa sur ses lèvres ses doigts d’un air gourmand.
    
    Le lecteur partit un peu à l’écart, isolé, et se courba comme un vieillard.
    
    Il s’écroula à terre, la tragédienne vint à lui, posa sa bouche sur son haut-de-chausse à l’endroit de la pine et fit mine de le sucer avec empressement. Il se redressa souriant et la foule applaudit.
    
    Ils se relevèrent et se collèrent l’un à l’autre. Pendant qu’il lisait, la tragédienne dénuda sa pique et la branla doucement aux yeux de ...
    ... tous.
    
    À la fin du poème, l’auteur n’avait plus de haut-de-chausse, l’actrice tenait dans le creux de sa main le vit et les couillons.
    
    Il l’a regarda tendrement :
    
    Les deux étaient moitiés nus et se caressaient mutuellement le sexe alors que tous les convives les acclamaient.
    
    Les lectures et les jeux des acteurs avaient réveillé les esprits. Des queues se redressèrent des mains s’emparèrent de cuisses et de mamelles, des frottements de tissus se firent entendre, des soupirs, des gémissements, des succions de tétins ou de piques, des branles vigoureux. L’auteur cessa la lecture et participa lui aussi au mélange langoureux des corps. Alors qu´un gros homme lui faisait minette, la duchesse me regardait songeuse. Elle ne revint cependant pas vers moi ni aucune autre, comme s’il avait été dit qu’il ne fallait pas boire du même verre que la duchesse. J’observais avec indifférence les corps, les congrès, les tribades enlacées ou les deux éphèbes qui se suçaient mutuellement le vit.
    
    J’avais été fasciné par ces lectures et j’en étais encore songeur. Je n’imaginais pas que l’on put exprimer de telles choses en écrivant. Pour moi les seules lectures qu’il m’avait été donné de faire avec les sœurs du couvent dans ma jeunesse étaient celles des évangiles. Ensuite, chez monsieur le comte, je ne lisais plus que des ordres, des listes de commissions, écrits par Monsieur ou Madame, des adresses, des rendez-vous… Et j’ai repensé à Zerbinette écrivant.
    
    Ce soir-là, personne n’eut ...
«12...91011...15»