1. Jeu de rôle, disiez-vous ?


    Datte: 14/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... empressement à l’impliquer dans nos jeux libertins ? Pour se donner une contenance, elle trempe plus souvent ses lèvres dans son verre de gin – le troisième, si j’ai bien compté. Espère-t-elle que l’on mette la coloration de ses joues au crédit de l’alcool plutôt qu’à sa confusion de s’être laissé entraîner hors de ses limites de décence ? En tout cas, elle n’ose pas commander à Sandrine de commencer « l’inspection punitive ».
    
    Cette apathie penaude te fait sourire et tu décides de modifier l’ordre de passage prévu.
    
    — Chantal, ma chérie, veux-tu montrer à ces demoiselles comment procéder ?
    
    Je m’y attendais un peu, vu les circonstances, mais il n’empêche que je ne sais pas trop « comment procéder ». J’acquiesce néanmoins à ton invite tout en finissant lentement mon gin orange pour me donner un temps de réflexion. Tu ne m’as pas reproché de prendre des initiatives lors de l’exercice pratique de cet après-midi, j’ai bien envie de recommencer ce soir. D’ailleurs, tu ne fais plus attention à moi, tout occupée à questionner Viviane et Clémence sur leurs études hôtelières.
    
    — Sandrine, ma puce, dis-je en me dirigeant vers elle, viens avec moi.
    
    Elle a un mouvement de recul lorsque je passe mon bras sur ses épaules. Je suppose qu’elle n’a pas l’habitude d’être enlacée par une femme nue qui a le double, et plus, de son âge. Elle se roidit sous mon étreinte. Je pourrais presque entendre son cœur battre la chamade. Elle attend une aide qui ne vient pas. Elle capitule enfin ...
    ... dans un grand soupir. Je la tiens assez fermement malgré tout pour la conduire derrière le fauteuil où est exposée Déborah. La vue du sexe offert la fait violemment rougir. Je l’encourage gentiment.
    
    — Ce n’est pas toi qui dois avoir honte, c’est elle. Elle est sale et elle sent fort. Tu ne trouves pas ?
    — …
    — Tu n’as pas senti ?
    — Si.
    — Dis-le-lui.
    — Oh non !
    — Dis-le-lui ! Dis-lui : tu sens mauvais, Déborah. Allez !
    — Vous… tu sens mauvais… Déborah.
    — Bien ! Tu vois comme elle est gênée ? Tu as reconnu l’odeur ? Elle sent quoi, à ton avis ?
    — …
    — Allez Sandrine, écarte ses lèvres, tu sentiras mieux.
    — Avec… mes… doigts ?
    — Non, avec un ouvre-boîte ! Mais oui, avec tes doigts ! Tu t’ouvres le minou avec autre chose ?
    
    Elle hésite encore jusqu’à ce que je prenne ses poignets et lui plaque les mains sur la vulve qu’elle doit examiner.
    
    — Ce n’est pas bien difficile, tu vois ! Alors, ça fait quelle sensation sous tes doigts ?
    — C’est… c’est gluant… c’est poisseux… Oh, madame Chantal, dites-lui de ne pas me regarder !
    — Non, ce n’est pas elle, c’est toi qui la regardes. Tu la regardes pour lui rappeler ses fautes, tu la regardes pour augmenter sa honte. Tu as compris ? Tu la regardes pour l’aider à se repentir.
    — Oui, Madame.
    
    Elle s’est enhardie, ses mains ne refusent plus de toucher le sexe humide. Je peux lâcher ses poignets et simplement guider ses gestes en me tenant derrière elle, mes bras sous les siens, mon menton au creux de son cou, mon pubis sur ...
«12...101112...15»