1. Jeu de rôle, disiez-vous ?


    Datte: 14/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... superbe demeure, et la domesticité, au moins cette adorable soubrette qu’est Sandrine ?
    — Et Aline et moi ne sommes-nous pas déjà comme vos demoiselles de compagnie ? souris-je en voulant abonder dans ton sens.
    — Et Déborah ne ferait-elle pas une dévouée servante de la reine ? suggères-tu, tant pour continuer la plaisanterie que pour atténuer l’allusion involontaire que je viens de faire[voir épisode 4].
    — Vous me feriez rougir si je ne savais pas que vous me taquinez, se récrie notre reine du soir, tout heureuse cependant de la comparaison.
    
    D’abord surprise d’être associée à la conversation, et sans doute contente de l’être, Déborah se laisse aller à intervenir modestement.
    
    — Madame Aline et madame Chantal disent vrai, Madame. Mes collègues et moi vous sommes très reconnaissantes de votre accueil.
    
    Encouragée par ton hochement de tête, elle s’autorise à prendre part aux batifolages.
    
    — D’ailleurs, nous serions toutes à votre disposition comme domestiques pendant le séjour, si vous le désiriez… Puis, se reprenant : en dehors du stage, je veux dire…
    — Mon Dieu ! C’est très gentil à vous, la remercie notre hôtesse, mais je n’aurais pas besoin d’une domesticité si nombreuse, même si j’étais reine !
    — Mais cependant, ne vous serait-il pas plaisant que Déborah soit à votre entière disposition ? insistes-tu malicieusement. La reine et ses suivantes seraient un joli thème pour un jeu de rôle.
    — Oh, s’il ne s’agit que d’un jeu, pourquoi pas ! acquiesce-t-elle tout à ...
    ... coup.
    — Je savais que l’idée vous plairait, chère Marie-Blanche.
    — Que n’aimerais-je pas, venant de vous, chère Aline ? Si ces dames sont d’accord, bien sûr.
    
    Déborah et moi sommes un peu déroutées par la tournure que prend votre dialogue. Nous approuvons néanmoins ta proposition afin de rassurer Marie-Blanche. Celle-ci se rembrunit soudain après une gorgée de gin.
    
    — Quel dommage que Déborah ne porte pas un costume plus approprié !
    — Peut-être que la tenue de Chantal pourrait s’en rapprocher, insinues-tu, il suffirait qu’elle la prête à Déborah…
    — Oui, en effet ! Quelle excellente suggestion, chère Aline ! Nous verrons quelle autre tenue pour Chantal par la suite.
    
    Tiens, tiens ! Cette fois, je devine tes arrières-pensées, Déborah aussi. Elle se met debout avant moi et, étrangement, le coup d’œil qu’elle m’adresse est dénué d’hostilité. Je la remercie d’un sourire en acceptant son aide pour me lever à mon tour. Son regard est sincère. Sa main douce et tiède presse franchement la mienne, sans fermeté excessive. Nos doigts se caressent en se séparant. Une complicité amicale se noue.
    
    Nous voilà côte à côte, interrogeant du regard nos compagnes qui se sont enfoncées benoîtement dans leurs sièges. Pour l’instant, l’attention de Marie-Blanche est surtout attirée par tes longues jambes que tu as croisées en repoussant le pan de ta robe d’un geste négligent. Une cuisse largement découverte, tu joues quelques secondes avec tes ballerines, en quittes une, puis me désignes ...
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