1. Jeu de rôle, disiez-vous ?


    Datte: 14/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... est sensiblement plus empreint de gêne que le mien. Je presse mes mains sur ses hanches avec douceur pour calmer sa honte de son odeur.
    
    — Ça ne me dérange pas du tout, tu sais, souris-je gentiment à mi-voix.
    
    Elle me remercie par une caresse sur mon mollet d’un geste furtif qui ne t’échappe pas. Mais tu n’as pas le temps de t’en offusquer, car Sandrine, fidèle à ses habitudes d’à-propos, pousse au même instant dans la pièce ses deux ouailles qu’elle a dû forcer à abandonner leurs babillages avec leurs nouvelles copines[voir épisode 5]. Ses mots d’excuse s’étranglent dans sa gorge en apercevant le tableau scabreux que Déborah et moi présentons aux jeunes arrivantes.
    
    Il est certain que pour un œil innocent la figure que nous formons évoque le classique soixante-neuf de façon évidente, quoiqu’un peu alambiquée. Pourtant, seul notre sens olfactif se délecte des émois érotiques de notre partenaire sans que nos mains ou nos langues ne touchent nos vulves respectives. Il me faut tordre le cou pour contempler les stupéfactions différentes qui se lisent sur les visages de Sandrine, Viviane et Clémence. Déborah, par contre, peut les observer sans problème entre l’arche de mes cuisses, à l’envers toutefois. Je vois aussi que Marie-Blanche manifeste un certain embarras, tandis qu’un sourire radieux et rassurant s’est posé sur tes lèvres.
    
    — Ah, mesdemoiselles, vous arrivez à point nommé ! leur déclares-tu sur un ton enjoué. Nous vous attendions pour que Déborah puisse endurer ...
    ... la première des pénitences qu’elle a méritées. Elle va vous dire elle-même pourquoi.
    
    Les têtes des gamines valent le détour, mais je risque un sévère torticolis si je m’obstine à tourner la mienne. Malgré les agréables chatouillis, volontaires ou non, du souffle de Déborah sur la figue juteuse que je lui expose quand tu lui demandes de leur répéter l’aveu de ses fautes, la curiosité me fait quitter mon perchoir. Tu leur expliques ensuite tranquillement ce que l’on attend d’elles, et de moi, d’ailleurs. Les regards qu’elles jettent sur la coupable ne peuvent dissimuler les sentiments qui les traversent.
    
    Si la surprise est quasi nulle pour Sandrine, son trouble augmente et le désarroi la saisit à l’approche de sa contribution ; elle sauterait sur la moindre occasion pour y échapper. Viviane a d’abord affecté un air pincé en écoutant la confession de Déborah, ses yeux se sont ensuite plissés en se découvrant actrice du châtiment et la lueur qui les fait briller est tout, sauf de la compassion ; la perversité cachée perce sous le masque de la gentille petite cousine. Clémence est plus complexe. La crudité des détails délictueux ne la choque pas, elle n’y verrait que péché véniel si j’en juge par sa mimique railleuse, qui devient moue indécise à l’annonce de la méthode de punition ; elle balance apparemment entre désir lubrique et empathie inquiète.
    
    Marie-Blanche n’a pas ouvert la bouche et évite de regarder Viviane depuis qu’elle est entrée. Regrette-t-elle maintenant son ...
«12...91011...15»