Jeu de rôle, disiez-vous ?
Datte: 14/05/2023,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
profélève,
amour,
fdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
nopéné,
lettre,
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents (1 à 5) :
«Questions, espoirs et désillusions »
«Une mise en situation réconfortante »
«Des avantages d’être servie »
«Échanges de politesses »
« Évaluations à chaud »
Partageant un fantasme avec son inspiratrice, Aline, Chantal s’imagine participer à une formation hôtelière novatrice. D’abord déconcertée et humiliée, elle voit sa curiosité érotique stimulée par des méthodes de management très particulières. Un jeu de rôles devient prétexte d’orgasmes multiples aussi épuisants pour les protagonistes que réjouissants pour les spectatrices. Après une pause amenant à des confidences de plus en plus lestes entre les deux amies et leur hôtesse, madame Marie-Blanche C**, la traditionnelle séance d’évaluation s’achève par l’arrivée de deux étudiantes bientôt invitées à se joindre au stage. Le repas convivial qui suit ouvre de nouvelles perspectives pour la suite du programme.
— Je vous en prie, prenez place comme il vous convient, s’exclame avec bonhomie Marie-Blanche. Aline, Chantal, voulez-vous vous installer dans le canapé, cette fois ? Et tenez, Déborah, je pense que cette chauffeuse vous changera agréablement de votre tabouret de tout à l’heure.
Nous sommes revenues dans le petit salon si cosy où notre hôtesse nous avait conviées pendant la pause. La table basse est ornée de bouteilles et de verres autour d’un bouquet de roses. Porto, jus de fruits et gin constituent un assortiment honorable accompagné de quelques ...
... biscuits et autres friandises.
Fidèle à ses pratiques de bourgeoise bien née, elle nous a invitées à nous asseoir n’importe où, pourvu que ce soit là où elle le souhaite. Mais bien sûr, elle a pris le ton d’une aimable prière. Un bref regard vers toi me confirme que tu n’as toujours pas accepté qu’elle ait invité Déborah à se joindre à nous sans te demander ton avis. Je te connais maintenant assez bien pour savoir que les petites rides de crispation au coin de tes yeux démentent le sourire aimable que tu affiches. Tu n’as pas changé de figure depuis notre sortie de la salle à manger. Je suis sûre que tu imagines déjà comment effacer le préjudice subi par ton autorité. Par contre, je ne sais pas si j’aurai ou non un rôle à y jouer.
— Chère Aline, ce canapé n’est-il pas confortable ? N’avais-je pas raison de vous le proposer ? reprend notre hôtesse, très satisfaite d’elle-même, en servant les boissons.
— Ah, chère Marie-Blanche, votre hospitalité est royale ! Ce canapé est aussi voluptueux que votre repas fut délicieux, n’est-ce pas Chantal ? me prends-tu à témoin.
— Absolument ! Notre hôtesse est la reine de l’accueil, je l’affirme bien volontiers, dis-je pour confirmer ta remarque sans comprendre où tu veux en venir.
— Oh, voyons ! Vous me flattez ! Allons, ce n’est qu’élémentaire politesse que de bien vous recevoir, minaude Marie-Blanche, en se rengorgeant malgré tout.
— Mais non, mais non, Chantal a raison : vous êtes la reine ici. N’en avez-vous pas le château, votre ...