1. Jeu de rôle, disiez-vous ?


    Datte: 14/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, amour, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, lettre, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... ses fesses.
    
    Ma proximité maternante la rassure, elle en oublie ma nudité pour se lover plus étroitement contre moi. Je pèse sur ses épaules pour la forcer à se pencher vers les cuisses ouvertes, à respirer de plus près les exhalaisons que ses doigts avivent. Son cul frotte mon ventre, je perçois le contact de sa peau sans autre obstacle que le tissu léger de sa blouse tendu sur ses petites pommes. Elle doit éprouver la même sensation et ressentir la chaleur qui envahit mon corps. Elle ne cherche pas à se dérober.
    
    Les yeux de Déborah ne quittent pas nos visages accolés. La bouche entrouverte, le souffle court, le teint plus vif des joues, les larmes au bord des paupières, toute sa physionomie exprime un mélange d’excitation et de honte qui réclame mon affection. J’essaie de la lui transmettre du regard entre deux conseils à Sandrine.
    
    — Lisse les poils, ma puce. Tu sens comme ils sont mouillés ? Rebrousse-les sur sa motte, tu vois bien qu’ils sont trop longs. Prends les grandes lèvres. Ensemble. Entre le pouce et l’index, c’est ça. Serre plus si ça glisse. Déplace-les d’un côté et de l’autre. En tirant un peu, oui, pour tendre la peau des aines.
    
    Sandrine obéit docilement, avec une grimace bien évidente de dégoût.
    
    — Vous avez raison, Madame. Elle est vraiment sale, ça sent fort !
    
    Une petite larme roule sur la joue de Déborah. Mes bras enserrent plus étroitement Sandrine, mes mains en dessous de sa taille, ma bouche au coin de la sienne.
    
    — Sépare les lèvres ...
    ... maintenant. Avec les deux mains, oui. Écarte-les, n’aie pas peur de les étirer. Tu vois comme elle a honte que tu ouvres sa moule toute poisseuse ? Et l’odeur, ça ne te rappelle rien ?
    — Oui… Elle s’est touchée, Madame.
    — Dis-moi, Sandrine, tu te touches, toi aussi, tu te masturbes ?
    — …
    
    J’insiste, je répète ma question en pressant mes mains juste au-dessus de son pubis. Je sens la forme de son string sous la blouse. Elle est assez fine pour que je puisse saisir les bords de la culotte. Je tire vers le haut en renouvelant ma demande. J’obtiens un aveu timide et contrit. Je relâche la tension sur sa motte et la caresse légèrement à travers le tissu. Une oreille brûlante s’appuie contre ma joue.
    
    — Ne sois pas gênée, ma puce. C’est bien, au contraire ! À présent, écarte ses petites lèvres, montre-moi son trou… Allez, ouvre plus, n’hésite pas. Tant pis pour elle si tu lui fais mal. Alors ?
    — Ça ne sent pas très bon, Madame. Et puis… c’est luisant. On dirait que c’est visqueux.
    — Tu crois ? Touche, pour savoir. Dis-moi tes sensations.
    
    Elle pose un index dans la fente béante, le fait passer de bas en haut, recommence une ou deux fois. Elle n’ose pas aller jusqu’au clitoris. Déborah tressaille, se mord les lèvres. Deux grosses larmes glissent de ses paupières.
    
    — C’est bizarre, pâteux et tout suintant aussi. Et même… ça coule.
    — C’est parce qu’elle mouille, la vilaine ! Tu vois, elle a honte, mais elle ne peut pas se retenir d’être excitée. Regarde son bouton, il ...
«12...111213...»