1. Nymphomane, moi ? Tome III (2)


    Datte: 08/05/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... ça coquine, me dit Alfred.
    
    Je répondis par un hoquet de plaisir. J’atteignis la porte et l’ouvris. Un jeune noir d’au moins deux mètres se tenait dans l’encadrement. Mes yeux brouillés ne le reconnurent pas.
    
    — Je suis Gérald... Tu m’as dit de passer !
    
    Ses yeux me parcoururent des pieds à la tête, il ne sut pas sur quelle partie de mon corps les fixer. Lorsque je compris qui il était, une série de petits spasmes contractèrent mon utérus comprimant le concombre, je crus que j’allai jouir devant lui.
    
    — Mademoiselle Trixie, faites entrer Monsieur, dit Victor derrière moi.
    
    Je retournai dans la cuisine, Gérald sur mes talons. Son regard se fixa sur mes fesses que je gardai serrées pour ne pas perdre le légume, qui entrait et sortait à chacun de mes pas. Arrivée à la table, je m’y appuyai, légèrement penchée en avant, jambes écartées, je me sentis prête à jouir, Gérald était toujours derrière moi. Victor en le regardant en souriant, me quitta le déshabillé, le fait de sentir le vêtement glisser, que mes fesses et ma vulve dénudées soient offertes au regard de mon amant me fit jouir. Un violent spasme me contracta les entrailles, la cucurbitacée fut éjectée de ma chatte ruisselante et tomba sur le sol, un flot de ...
    ... foutre s’écoula à la suite. Abasourdi dans un premier temps, Gérald se baissa, ramassa le légume.
    
    — Ma foi... bel engin...!
    
    Dit-il en examinant, sous toutes les coutures, le légume dégoulinant de mon jus intime.
    
    — Mais il n’est pas aussi gros que ma bite... si ça te dit !
    
    Joignant le geste à la parole, il quitta son pantalon. Je ne pus rien voir, agrippée à la table encore parcourue par des tremblements, finissant de jouir. On aurait pu entendre une mouche voler.
    
    Je le sentis s’approcher, ses deux mains me saisirent à la taille, et descendirent le long des lanières de mon porte-jarretelles, arrivées aux bas, elles remontèrent très doucement, passèrent sous la nuisette, qu’elles remontèrent, s’attardèrent sur mes seins.
    
    — Putain que tu es belle, ma petite salope de blonde.
    
    Me murmura-t-il dans l’oreille avant de m’en mordiller le lobe et de me lécher le cou. Puis il fit passer la nuisette par dessus ma tête. Ses longues mains se posèrent sur mes épaules, lorsqu’il me saisit les seins, je frissonnai d’extase. Il me pencha un peu sur la table, fléchit les genoux et je sentis le dessus de sa bite, frotter ma fente trempée. Il me pénétra lentement... Quoiqu’il en fut, j’allai encore passer un bon moment ! 
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