Nymphomane, moi ? Tome III (2)
Datte: 08/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... léchais voluptueusement. Parfois, il ne pouvait plus se retenir et je voyais une tâche s’étaler à hauteur de sa braguette ou un jet de sperme gicler sur la moquette, il ne portait jamais de slip. Je le rappelais à l’ordre.
— Eh oui, Victor, il faut respecter les ordres de Alfred, tu ne peux me toucher qu’en sa présence !!
— Salope, je te le ferai payer...!! me disait-il alors.
— Mais tu ne veux quand même pas me baiser, quand Alfred n’est pas avec toi !!
Je voulais le rendre fou d’envie... Je sentis que Victor ne pourrait pas résister et ne prendrait de force, il me sembla que c’était ce que Alfred attendait... que le majordome me prenne de force.
Un samedi, je travaillais avec le vieil Alfred dans son bureau, lorsque vers 16 h 30, il me demanda d’aller dans la cuisine faire une cafetière de café chaud. J’obtempérai. J’entrai vivement dans la pièce, Victor était en compagnie d’un livreur, qui tournant la tête vers moi, renversa son cageot de légume en me voyant ainsi vêtue.
Le déshabillé grand ouvert, ma chatte bien rasée encadrée par mon porte-jarretelles offerte à ses regards, les tétons pointant par les fentes de la nuisette transparente. Je voulus faire demi-tour. Victor m’attrapa par un bras.
— Monsieur vous a donné un ordre, me semble-t-il ? La cafetière est sur la table.
Il m’y conduisit avec une certaine rudesse. Il m’amena en pleine lumière entre la table et la porte-fenêtre ouverte, sûrement pour faire admirer mon corps au livreur. ...
... C’était un homme d’environ trente ans, court sur pattes, gros, adipeux. Il se dégarnissait déjà et avait un double menton, il n’était pas rasé et semblait sale. Bredouillant, il se mit à genoux devant moi pour ramasser les légumes, la plupart se trouvaient maintenant entre mes pieds. Bouche ouverte, les yeux ne pouvant se détacher de ma chatte, il tâtonna sur le sol avec ses grosses mains velues.
Victor passa derrière moi et me saisit les bras, faisant saillir ma poitrine.
— Eh petiot, t’as vu comme elle est belle ! Qu’attends-tu pour la caresser ?
Les grosses mains du livreur se posèrent sur mes talons aiguilles, remontèrent le long de mes chevilles, suivirent doucement mes cuisses fermes, s’arrêtèrent sur les attaches de mon porte-jarretelles. Il respira de plus en plus vite, Victor lui, m’ enleva le déshabillé, il défit les petits rubans qui « fermaient » les fentes de la nuisette sur mes aréoles. Il les écarta et commença à me titiller les bouts, ma poitrine malgré moi se cambra vers l’avant, mes tétons s’érigèrent, mes seins gonflèrent. Je fus surprise et n’esquissai aucun geste de refus. Ce fut à ce moment que j’aperçus Alfred qui filmait la scène depuis la terrasse par la porte ouverte, je compris pourquoi Victor était au courant pour le café ! Advienne que pourra je ne résistai pas !
Les mains du gros suivirent lentement les lanières arrières de mon porte-jarretelles, malaxèrent doucement mes globes fessiers, et elles caressèrent la ceinture de mon ...