Nymphomane, moi ? Tome III (2)
Datte: 08/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... filmé... dit Alfred qui entra dans la cuisine pour ne rien rater de la scène. Mais Victor, Mademoiselle Trixie n’a pas joui...!!
— C’est vrai Monsieur, mais moi non plus !!
Avisant un énorme concombre ayant la peau toute boursouflée, tombé du cageot renversé, Alfred demanda à Victor de s’en servir comme godemiché. Il le ramassa, le compara à son énorme bite en érection et avec un sourire lubrique, dit à Alfred, qui s’était remis à filmer.
— Monsieur a raison, il est plus gros que ma queue, Mademoiselle va apprécier !!
Il me releva, me coucha sur la table, jambes pendantes. Il releva ma nuisette au-dessus de mes seins. Soumise, j’écartai largement les jambes, offrit ma chatte béante, gluante et palpitante à l’objectif de la caméra et aux regards des trois hommes.
Le gros dont la bite était flasque, s’approcha de mes seins et se mit à sucer mes tétons. Victor lui, me frotta le bout du concombre le long de la chatte, essaya de récupérer mon foutre et le sperme du gros jeune homme pour lubrifier le légume, il y cracha dessus, et écarta mes lèvres, commença à faire pénétrer par petites pressions successives l’énorme légume boursouflé. Il avait le coup de main le vieux sadique, lorsqu’il eut bien écarté ma vulve, il ressortit la cucurbitacée, puis l’enfonça à nouveau par des petites saccades de son poignet. Lorsque doucement, il le tourna, les boursouflures me râpèrent les parois vaginales, que je contractai et relâchai pour absorber le légume, je me tortillai sur la ...
... table. Je haletai de plaisir. Le gros subjugué par cette pénétration arrêta de me sucer les seins.
— Oui regardez Monsieur, Mademoiselle apprécie, elle mouille de plus en plus et sa chatte s’ouvre largement, j’ai bientôt tout enfilé...
Je hoquetai de plaisir, je me traitai de salope, mais j’aimai cela, je me surpris à saisir la main de Victor pour accélérer la cadence et l’enfoncer plus profondément, il entra presque entièrement dans mon vagin, il ne dépassait que de quelques centimètres. C’est à ce moment que la sonnette retentit. En me laissant l’énorme légume dans la chatte, Victor me releva, réajusta les fentes de la nuisette bien en face de mes mamelons qui ressemblaient à deux petites têtes d’obus, remit d’aplomb mon porte-jarretelles et mes bas, tira légèrement sur le bas de la nuisette et me remit le déshabillé.
— Si Mademoiselle veut bien aller ouvrir, me dit-il !
— Comment ? Comme ça... avec ce truc ? hoquetai-je !
— Oui, c’est un sacré morceau, et ça te fait mouiller comme une petite folle, pas vrai ! Dit Alfred.
— Et vous voulez que je conserve ça en moi pour aller ouvrir ?
— Oui, allez-y et dépêchez-vous, marchez ! Que nous puissions vous admirer Mademoiselle ! dit Victor.
Je me dirigeai vers la porte d’entrée, chaque pas fit bouger l’énorme concombre, cela me fit un peu mal, mais je sentis le plaisir qui montait. Mon visage dut trahir mon émoi et le foutre qui humidifia le pourtour de mon sexe, me rendit folle d’excitation.
— Tu aimes ...