Nymphomane, moi ? Tome III (2)
Datte: 08/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... porte-jarretelles. Elles redescendirent sur le devant de mon mont de Vénus et avec ses deux pouces, il écarta mes lèvres, ma chatte était énormément mouillée. Je vis sa grosse tête s’approcher, et sa langue s’insinua dans mon méat, il me lécha la fente du bas en haut, aspira mon clitoris, je gémis de plaisir. Il le téta littéralement, je le sentis durcir. Victor me lâcha les bras pour s’occuper de mes seins, j’attrapai la tête du livreur pour la maintenir plaquée sur mon bas-ventre. Des râles sortirent de ma bouche.
Le gros épicier, excité, défit son pantalon, et il se coucha sur le dos, sa bite n’était pas longue du tout, mais elle avait la grosseur d’un verre, Victor me fit tourner face à lui. Les jambes de chaque côté du gros corps couché, dont la queue émergeait d’un amas de poils drus et noirs. Le gros livreur attrapa mes hanches et me força à m’ asseoir sur sa bite. Son gland énorme et violacé pénétra lentement entre mes lèvres moites, il me tira violemment vers le bas, pour faire entrer le reste.
Victor, lui aussi avait le pantalon sur les chevilles, sa grosse queue pendait molle pour l’instant entre ses cuisses. Alfred filmait toujours.
— Suce-moi, dit Victor.
J’ai toujours aimé décalotter les bites, surtout lorsqu’elles sont énormes, je trouve cela très érotique et celles de Victor et de Gérald faisaient partie des appendices que je préférai. Je tirai doucement en arrière le prépuce, en fis attention de ne décalotter que la moitié du gland. Puis avec ...
... mes lèvres, j’aspirai doucement la partie découverte. Victor tressaillit, et lentement, je continuai à tirer la peau de son prépuce vers l’arrière et aspirais au fur et à mesure que je découvrais son gland, puis une fois que celui-ci fut mis à nu, je le suçai comme une tétine. Sa queue enfla entre mes mains qui en caressèrent doucement la longueur. Jugeant que la dureté de sa bite était suffisante, je commençai à l’avaler progressivement. Vu la grosseur, je fus obligée d’ouvrir ma bouche en grand, mais elle s’enfonça dans mon gosier, je dus la sortir plusieurs fois et recommencer l’opération pour arriver enfin à l’avaler entièrement et que mes lèvres frôlent ses poils pubiens complètement blancs.
Le gros pendant ce temps me fit légèrement basculer en avant, tout en continuant ses allers et retours avec sa courte, mais montueuse bite raide, mon foutre ruissela sur son ventre. Il m’enfonça son pouce droit dans l’anus, puis il y joignit deux autres doigts. Une fois qu’il eut bien écarté mes parois anales, d’un seul coup, il sortit rapidement sa queue de mon vagin et l’enfourna entièrement dans mon cul. Si la bite de Victor n’avait pas été au fond de ma gorge, j’aurai rugi de plaisir. Il me souleva comme une plume et me laissa retomber de plus en plus vite, si bien que je ne pus plus sucer Victor. Ses mains remontèrent sous la nuisette jusqu’à mes seins qu’il compressa d’une force inouïe et s’arquant, il explosa de jouissance avec un grand cri rauque.
— C’est bon, j’ai tout ...