Nymphomane, moi ? Tome III (2)
Datte: 08/05/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
— Trixie, me dit Alfred, en revenant de raccompagner ses copains, tu sais, je suis extrêmement malheureux ! Aucune femme n’a voulu de moi, je n’ai pas pu me marier... je n’ai pas de descendance. Maintenant, je suis vieux, laid. Lorsque j’ai de la chance, les filles acceptent tout juste de me faire une fellation, et je ne veux pas fréquenter les péripatéticiennes, avec toutes les maladies qui circulent ! Les occasions sont rares pour satisfaire ma libido... J’en suis donc arrivé à pratiquer comme je t’ai expliqué le voyeurisme et maintenant que tu es là, le candaulisme. C’est une pratique sexuelle dans laquelle je ressens de l’excitation en regardant des rapports sexuels qui ont lieu entre une ou plusieurs personnes, devant mon regard consentant, et j’y ai pris goût. En plus, mon cardiologue m’a déconseillé les efforts violents. Il n’y a qu’ avec toi que j’ai pu enfoncer entièrement mon petit mandrin et depuis, plus rien... Mais rends-toi compte que cela faisait presque dix ans, depuis que nous avons fait l’amour, que je n’avais pas touché une fille...
Je crus qu’il allait pleurer... Mais oui, une larme perlait sur sa joue ! Je me levai à mon tour, et avec un air contrit me dirigeai vers lui, je lui déposai un baiser sur la joue...
— Je vois, mais que puis-je faire, pour vous ? Comment puis-je vous aider ?
— Oui, dit Gérald, comment peut-on vous aider ?
— Eh bien, les enfants, en faisant comme ce soir en égayant mes soirées... Et puis, Trixie, je viens d’embaucher ...
... un majordome, Victor, pour ce qui est entretien de la maison, il paraît que c’est une vraie perle ! Demain c’est dimanche, tu n’as qu’à venir avec Gérald faire connaissance avec lui.
— Ah moi, non je ne peux pas, répondit l’intéressé, j’ai une compétition de basket jusqu’à très tard le soir, nous sommes en déplacement...
Le lendemain matin, il fit visiter à Victor sa somptueuse villa, avec jardin, piscine, un vaste living-room meublé avec un goût certain, une salle de bain immense, quatre chambres spacieuses. Le domestique avait revêtu les habits de fonction, gilet à rayures noires et jaunes, chemise blanche, nœud papillon, pantalon noir. Il était chauve sur le dessus du crâne, il devait avoir entre cinquante-cinq et soixante-cinq ans. Il me dévisagea avec intérêt. Il prit ensuite son travail comme s’il avait toujours été dans la maison.
Il était bientôt dix-neuf heures et nous étions dans le living-room.
— Alors qu’en penses-tu ? Nous allons prendre l’apéritif, j’ai demandé à Victor de nous servir dans un quart d’heure.
— Oui, il a l’air parfait en tout cas, il est très stylé...
— Au fait... Tu sais que je suis un excentrique, alors j’aimerai que tu portes ça en permanence dans la maison...
Il déballa des sous-vêtements, en fine dentelle noire.
— Tu veux bien les enfiler ! Veux-tu mettre la nuisette que je puisse juger...
Ce genre de lingerie me plaisait beaucoup, lorsque je rentrais chez moi après le boulot, je m’habillais souvent ainsi. C’était ...