Philippe, le rêve
Datte: 09/04/2023,
Catégories:
hh,
hbi,
jeunes,
hépilé,
vacances,
campagne,
hsoumis,
hdomine,
Oral
init,
gay
Auteur: Dommi, Source: Revebebe
... Alan.
— Non, c’est hors de question. Philippe, tu m’as demandé de te caresser, j’ai cédé. C’est bon, c’est suffisant, je ne suis pas ta pute ni ton esclave.
— Mais non, bien sûr que non, mais je pense que tu as envie de plus de sensualité, je le vois à ta façon de me caresser, je le sens, tu as envie d’en découvrir davantage, d’avoir un contact plus intime. Voilà pourquoi ta bouche, suce-moi.
— J’arrête, stop, j’ai cédé à ton envie de caresse, c’est bon. Tu as eu ce que tu espérais, ça suffit, je n’irai pas plus loin.
Je n’ai pas lâché son sexe imposant malgré ma petite mutinerie.
— Alan, j’ai tellement envie de ta bouche, donne-la-moi.
Le regard figé sur son énorme sexe. Le silence, juste un petit bruit de fond à peine perceptible, le chant lointain des oiseaux et des insectes, la chaleur intense, ma position agenouillée entre ses cuisses, les mains sur son sexe. Cette journée torride, ce climat licencieux, érotique, me troublent.
Je caresse un sexe d’homme, celui de mon meilleur ami, quelle honte et ma surprenante excitation ! Rien ne m’a paru aussi troublant jusqu’à ce jour.
De nouveau sur un ton plus impérieux,
— Suce, fais-moi plaisir. Pourquoi résister ? Ce n’est qu’une expérience sans conséquence, juste une fois pour voir et puis ça restera notre secret, personne n’en saura jamais rien !
Je cède, j’approche mes lèvres de ce gland circoncis, une fragrance mêlée de gel douche et de mâle, légèrement musquée. Sur le bout de ce gland dressé perle ...
... une goutte, mes lèvres se posent délicatement l’entourent, le goût iodé, salé est assez agréable, je tète comme une grosse sucette, sans beaucoup d’imagination. J’essaie de me remémorer ses récits détaillés et répétés des multiples fellations prodiguées par sa maîtresse, la cougar. J’avale un peu plus ce long morceau de chair chaude et vivante, je suce et avale quelques centimètres supplémentaires, je pompe lentement.
Ma bouche est pleine de presque toute sa longue hampe. Elle heurte le fond de ma gorge, difficile de respirer, je pompe, ma succion génère des bruits humides et obscènes, je suis à la limite de l’étouffement, je salive énormément, je manque de vomir.
Je limite sa pénétration, je m’applique dans un mouvement fluide et continu, ma main caresse ses bourses, elles sont énormes, lisses et douces, je surprends mon autre main à caresser son pubis, le plaisir de sucer me gagne, comme une révélation, sa longue queue en bouche me plaît, il gémit, il apprécie. C’est très excitant et à la fois valorisant, de sentir que je lui donne du plaisir.
Je bande très fort de nouveau, je m’excite tout en suçant sa queue !
Les soubresauts d’excitation de ce membre m’inoculent des ondes voluptueuses, sa chaleur, sa texture, son odeur, c’est fou comme c’est bon.
J’aime ça ! Comment l’expliquer ? Il y a dix minutes, je refoulais sa demande perverse, maintenant je le suce, je me suis totalement désinhibé, je me libère. Naturellement mes caresses gagnent en douceur, sont plus ...