1. Philippe, le rêve


    Datte: 09/04/2023, Catégories: hh, hbi, jeunes, hépilé, vacances, campagne, hsoumis, hdomine, Oral init, gay Auteur: Dommi, Source: Revebebe

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    — Je ne vais pas me répéter dix fois, caresse-moi maintenant.
    — Non, ne compte pas sur moi. Je vais déguster mon dessert dans le jardin, tu n’as qu’à te soulager tout seul, peut-être retrouveras-tu un peu de lucidité après.
    — Tu préfères une douceur comme les petits enfants, le sucré plutôt que la sensualité. Comment espères-tu te libérer, te déniaiser, vivre une sexualité épanouissante en étant aussi coincé ? Laisse tes tabous et goûte au plaisir, saisis l’opportunité lorsqu’elle s’offre à toi, sois audacieux.
    
    Il n’a pas entièrement tort, à ne rien oser, jamais je ne connaîtrai l’exaltation d’une aventure.
    
    Je me lance. Après tout, je ne risque rien, nous sommes seuls, cela restera entre nous. Je m’avance, honteux tout de même, je pose les genoux sur le sol devant son pieu dressé, je ne regarde que ce sexe. J’ai peur d’affronter son regard, j’avance une main vers la base de sa hampe.
    
    Ma main se pose, mes doigts entourent ce pieu de chair raide, ils n’ont font même pas le tour, je ne sais par où commencer, je frissonne d’appréhension, de honte.
    
    — Alan, ne sois pas timoré, tu sais tout de même te caresser, te masturber alors fais comme si c’était toi.
    
    J’entame un mouvement de branle maladroit, je ressens la rigidité, les veines noueuses de cette longue tige. Inconsciemment ma seconde main vient se poser sur son gland humide, j’essaie de reproduire ma façon de me caresser, de masser cette partie de ma verge.
    
    Mon autre main descend vers ses énormes ...
    ... couilles lisses.
    
    Mes débuts de branleur sont très mécaniques et plutôt maladroits, attouchements timides plus proches de l’effleurement que d’une caresse, je n’ose pas tenir à pleine main ce pénis lubrique. Je suis stressé, je ferme les yeux, j’essaie d’imaginer des situations érotiques, curieusement celle qui me vient à l’esprit : la cuisine, son corps nu, son baiser sur ma joue, sa peau qui effleure la mienne et la chaleur de son sexe que je sens s’ériger contre mon ventre.
    
    Cette pensée me stimule, je reprends mes attouchements, mes mains s’emparent plus fermement de ce sexe, je ressens davantage la douce chaleur qui en émane. Mes gestes sont plus harmonieux, le contact de mes doigts plus sensitif, mes caresses s’affinent en sensualité. Je caresse d’une main et l’autre branle en courant le long de sa tige, j’enveloppe son gland d’un doux massage à chaque passage, la virilité de cette tige excitée me séduit.
    
    En mode pacha, Philippe savoure et m’observe.
    
    Le temps s’est arrêté, J’ai l’impression de le caresser depuis une éternité, combien de temps ?
    
    Inconsciemment je m’implique intimement dans tous mes gestes, de plus en plus voluptueux, ce qui devait arriver se produit, je sens ma vergette se tendre fièrement, à la mesure de mon excitation grandissante.
    
    Il le remarque.
    
    — Alan, regarde-moi cette jolie preuve, tu aimes, tu acceptes ton désir, regarde comme cela t’excite. Je peux encore augmenter ton désir, ton excitation, prends-moi dans ta bouche, suce-moi, ...
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