La boutique de Diane - Histoires de Sexe

La boutique de Diane

... scène bucolique s’il en est.

— C’est nouveau ça ! Vous êtes en manque d’imagination !
— Le reste de la télé est tellement nul.
— Ça me file des complexes, dit Alban. Tu parles des queues qu’y z’ont les mecs.
— Tais-toi, Alban ! Nous, on aime la tienne !, proteste Ed. Tu es parfait.
— Tu es parfait à sucer, dis-je en me penchant.
— T’as pas de complexe à avoir, dit Ed, en éteignant la télé.

J’aime le trio, deux à prendre soin d’un, j’aime trop. De façon innée, Ed et moi allons dorloter Al pour lui faire oublier ce complexe ridicule de queue énorme. Chacune d’un côté à se partager sa queue, ses couilles, nous papotons :

— Ed, t’as toujours du mal à avaler ?
— Toujours. Y en a pas des tonnes, ça veut pas le faire, ça coince. Dans les partouzes, tu m’aideras, hein, Caro…
— C’est pas pratique à faire…
— Ed, on essaie.
— C’est ton mec.
— Il est d’accord, dis-je.
— Vous parlez de moi, les filles ?
— T’occupe pas…
— Faut avoir bon caractère avec vous, soupire-t-il.

Nos caresses buccales n’allaient pas durer cent sept ans. Edwige a recueilli le sperme et tenté de me le refiler dans une galoche. Le sperme se diluant dans notre salive, rien n’est perdu. Ed est contente mitigée :

— Ça peut le faire. Les mecs sont toujours contents de nous voir avaler. Caro, faut que tu m’accompagnes dans les partouzes…
— Si Alban veut…
— Jamais entendu si grosse connerie, se marre-t-elle. Trêve de plaisanterie, quand Luc sera là, nous lui ferons la même pipe. Caro, t’es ...

... d’accord ?
— Alban chéri, t’es d’accord que je suce Luc ?

Là, ma chérie voit rouge. Elle me coince et me fesse grave :

— Je me demande si j’en avais pas envie secrètement. T’en penses quoi Alban ?
— Oulala, l’Alban, il est pas là…
— Caro, t’es trop mignonne les fesses rouges. Tu m’en veux ?
— Non. Tu me le paieras un de ces jours…

Sacré Luc

Le dimanche, à la coloc, Edwige, Luc, Alban et moi, nous avons partouzé gentiment. Je pensais à la double pénétration sans oser en parler. Si un chéri avait proposé, j’aurai dit un « non oui pourquoi pas », histoire de me faire prier. J’aimerais faire entre nous, réserver la primeur à nos chéris. À Luc, nous avons fait la fellation à deux comme à Alban. Ed confirme :

— Caro, faut que tu m’accompagnes, j’avale mieux à deux.
— Je peux t’accompagner, dit Alban.
— Je suis tombé où ? rit Luc.

Alban lui dit qu’il a déjà sucé en orgie, que c’est marrant. Luc :

— Je vous raconte une anecdote. Vous savez la paroi avec des trous où on passe la queue et vous ne savez pas qui vous suce. J’avais trouvé trop bien la fellation et c’est un garçon qui me l’avait faite. Depuis, j’ai admis plein de choses.
— Tu suces ? lui demande Alban.
— Dans une partouze, mais je n’irais pas baratiner un gars pour lui faire.
— Vous feriez un 69 devant nous ? interroge Edwige. Nous, on fait devant vous…

J’avais pas pensé à ça. La tête des deux ! Y vont débander… Hi hi… Je pousse à la roue :

— Allez, les garçons, vous allez êtes contents de ...