La boutique de Diane - Histoires de Sexe

La boutique de Diane

... dit :

— Je veux le même plug.

Commerciale avenante, tout sourire :

— C’est celui-là, le lui montré-je du doigt dans la vitrine. C’est Diane qui s’en occupe.

Ses yeux fulminent d’avoir été bernée. J’exprime discrètement ma satisfaction d’un sourire avenant ironique. Ça fulmine encore plus. Et d’un seul coup, l’œil devient velours :

— Est-ce confortable à porter ?
— Après un petit temps d’adaptation, on l’oublie. Diane va voir avec vous les différentes longueurs de chaînettes.
— Je veux le standard.
— Dans quelques minutes, ce sera prêt.
— Diane chérie, je ne puis attendre. Tu me feras livrer par Mademoiselle Caroline. À 21 h précise. À plus, mes chéries.

Valérie partie, Diane éclate de rire :

— Te voilà piégée !
— Tu crois ? J’aurais pu refuser… Elle ne m’impressionne pas, elle m’intrigue.

Elle me tend le paquet :

— Elle griffe…
— J’te raconte demain.

Livraisons

Je me douche. Petite robe élégante et d’un seul coup, j’ai une idée, osée certes, mais inhabituelle pour une livraison.

À 21 heures, je sonne au domicile de Valérie. Elle m’ouvre en déshabillé noir laissant deviner sa nudité.

— Bonsoir, Caroline, vous êtes l’exactitude même.
— La politesse des reines…

Elle me tend la main :

— Mon petit achat…
— Il est en moi, venez le chercher, dis-je en soulevant ma robe, lui montrant la chaînette pendante.

Son regard se durcit :

— Non ! Vous me l’introduisez !
— Je ne suis pas votre bonniche !

Son regard n’est plus ...

... ténébreux, c’est la fureur. Elle me balance une gifle :

— Insolente !

Je lui en balance une :

— Je ne tendrai pas l’autre joue !

Elle reste coite, surprise de ma volonté. Je profite de mon avantage :

— À genoux ! Vous me l’enlevez avec vos dents !

C’en est trop pour elle, elle se jette sur moi et voilà mon premier crêpage de chignon. Troussées à nous pincer, à tirer les cheveux… bref, nous nous retrouvons en ciseaux, elle a senti la chaîne du plug dans sa fente, ça l’a excitée pas possible. Nous en jouissons à nous taper nos chattes l’une contre l’autre.

Nous récupérons à même le plancher. En nous relevant, elle jette son déshabillé, moi, par mimétisme, la robe.

Elle me pousse dans un fauteuil, se met à genoux entre mes cuisses et vient enlever le plug avec les dents pour me faire un cunni d’enfer. Tous tétons dehors, je le lui rends…

C’est enfin le calme. Je lui demande où est la salle de bain, elle m’y emmène. Je savonne le plug, le rince, le lui présente :

— Valérie, je dois finir ma livraison, dis-je en le lui collant dans la chatte. Mission accomplie !

Tendre, elle me tire à elle pour une galoche allant remettre le feu aux poudres.

Le lendemain à la salle de gym, Jessica, est sans pitié :

— T’as une petite mine ! T’as baisé toute la nuit ! Hop, en tenue !

Quand j’arrive à la boutique, Diane :

— T’as une mine d’enfer ! Le cul vaut une crème hydratante, dit crûment Diane. Raconte, s’il te plaît, raconte ! La livraison s’est bien ...