Pucelle libertine - Histoires de Sexe

Pucelle libertine

... mouille le string. Sa copine a compris. Moqueuse, elle me défie du regard, le tire pour le galocher sans vergogne. Et lui qui suit. Grrr ! Elle a dit qu’elle me le refilait. Son regard me dit « Tu fais quoi maintenant, viens le chercher ».

Je souris, je sais qu’il sera à moi, elle le sait aussi. Sakia et Fifka me rejoignent, puis Jessica. Je mets tout mon cœur dans notre duo puis dans le cunni que je lui fais en fin de numéro.

Plus tard, elle me dit :

— T’avais la rage ce soir ! Faut te faire dépuceler, ma vieille !
— Ça va se faire bientôt.
— C’est donc ça qui te travaille.
— J’voudrais que ça soit romantique.
— Ça n’empêche pas.

Je dis sur un ton que j’espère innocent :

— Tu sais quoi, j’ai une touche avec un couple, je fais quoi ?
— Va libérer tes bas instincts, rit-elle.

Je mets juste une minijupe et vais rôder du côté salle. C’est le couple qui vient à moi, à croire qu’il me cherchait, il va être temps de faire connaissance. Le garçon, trop mignon me fait frémir du clito. Je vais direct vers sa copine :

— J’croyais que tu me le laissais !
— T’es jalouse, ma parole !
— Quand on dit, on fait !
— C’est pas toi qui vis avec ! Non, mais…
— Hein ? Vous vivez ensemble !
— On est coloc, alors camembert, ma belle !

Le garçon est d’une neutralité plus que suisse.

— Et tu le galoches à tout va, me moqué-je.
— Et plus encore. Il est trop mignon, on résiste pas, faudra t’y faire.

Le garçon se grattouille la braguette, De voir deux ...

... nanas se le disputer le ferait-il bander ? La brune reprend :

— On se le partage. Je l’ai la semaine et toi le week-end, d’ac ?
— Pas d’ac. Le week-end, je bosse.
— T’as un boulot éreintant, ironise-t-elle.

Elle m’énerve et le voit, diplomate, elle propose :

— Y a un coin tranquille où nous pouvons discuter ?
— Une alcôve…
— Oui, tu sais quoi, j’ai jamais baisé avec une nana, on peut essayer.
— Tout le monde nous verra.

Je ne dis pas que l’on peut occulter.

— Ça rajoute du piment. Nous te suivons.

Puisqu’il faut en passer par là pour avoir le garçon, allons-y gaiement. Je suis prête à tout, je le veux !

Il y en a une de libre. Dans la lumière tamisée, la brune :

— C’est sympa chez toi, La Linéa. Moi, c’est Edwige.
— Alban, se présente le garçon en faisant une courbette.
— Tu parles enfin, lui souris-je. Moi, c’est Caroline.
— J’ai appris qu’il ne fallait pas se mêler de disputes entre filles.
— Une dispute, t’as vu ça où ? dit Edwige.

J’appuie sur un bouton, une musique langoureuse change l’ambiance.

— Mettons-nous à l’aise, dis-je en dégrafant ma mini.

Edwige n’hésite pas, Alban non plus. Ils ont l’habitude, les colocataires.

Elle force Alban à s’asseoir, vient se coller à moi, z’yeux dans les z’yeux :

— Après notre danse, j’ai pensé à toi toute la semaine, je me suis masturbée en pensant à une nana, incroyable, hein…

Je me penche pour effleurer de la langue un de ses tétons.

— Oh, p’tain, ce que tu me fais… Continue ! ...